« L’IMAGE POUR SOUTENIR, ACCOMPAGNER ET TRANSMETTRE » ____________________________________ Expositions, Créations, Résidences, GRAPh-CMi

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« L'Art n'est pas ce que vous voyez, mais ce que vous faites voir aux autres. »


-Edgar Degas.




PROGRAMMATION 2023 FESTIVAL FICTIONS DOCUMENTAIRES

FICTIONS DOCUMENTAIRES 2023 FESTIVAL DE LA PHOTOGRAPHIE SOCIALE
Nos dernières actualités
Actus15 mai – 21 juin 2025vernissage 3 juin à 18h30 Maison des Mémoires53 rue de Verdun – CarcassonneMardi-Samedi 10h-13h | 14h-18h Une co-production GRAPh-Carcassonne et Carré d’Art-Chartres de Bretagne (membres du réseau Diagonal) avec le soutien du Ministère de la Culture (dispositif « Mieux produire, mieux diffuser ») et avec le soutien de la Fondation Jean-Luc Lagardère Disappearance – Où il est question d’eau et de civilisations… déf. : Disparition, évanouissement. Acte de quelqu’un ou de quelque chose cessant d’être visible ; l’acte ou le fait que quelqu’un ou quelque chose manque à l’appel ; le processus par lequel quelque chose cesse d’exister ou d’être utilisé. Disappearance est un projet réalisé le long de la route 65 en Jordanie, point central de la “Diagonale de la soif” qui s’étend de Tanger jusqu’en Chine. Un projet sur la disparition de l’eau, crise majeure de notre siècle que le monde va devoir affronter. Berceau de l’humanité, marqué par l’Histoire et les grandes religions monothéistes, un territoire qui garde les traces du passage de l’humain depuis des millénaires.Un travail réalisé le long du mythique fleuve Jourdain, réduit à une rivière polluée que l’on peut traverser en quelques enjambées. Le long de la Mer Morte qui, inexorablement, disparait, faisant s’écrouler le sol autour. Un territoire où l’on dit que si rien n’est fait, il n’y aura plus d’eau dans une dizaine d’années. En plein cœur d’une région sous tension permanente mais où les pays frontaliers vont devoir s’accorder s’ils veulent survivre.Disappearance, telle une grande scène de théâtre, fait se côtoyer des personnages issus de la mythologie et des hommes qui semblent engloutis par leur environnement. Ils évoluent dans des paysages de plus en plus désertiques ou sur les ruines de civilisations aujourd’hui disparues à la suite d’évènements climatiques. Un projet qui nous projette dans un univers apocalyptique, où l’on ne sait plus s’il se situe dans le passé, le présent ou un futur proche. Avec ce nouveau projet, Mouna Saboni entaille certaines de ses images, comme autrefois on gravait les pierres. Elle y inscrit des textes retrouvés grâce à des fouilles archéologiques écrits, dans des alphabets aujourd’hui disparus, et qui témoignent de la trace de civilisations passées. Comme des voix qui semblent émaner du sol pour nous rappeler l’histoire et la fragilité de l’humai En 2023, le projet Disappearance est sélectionné pour le Prix Pictet et est lauréat du Prix Maison Blanche à Marseille. La photographe Mouna Saboni Mouna Saboni, artiste photographe franco-marocaine, est née à Rennes en 1987. Après un master d’Économie Sociale et Solidaire, elle intègre l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles dont elle sort diplômée en 2012. Le travail photographique de Mouna Saboni porte sur la quête de l’identité qu’elle interroge à travers une mémoire personnelle intimement liée au territoire. À travers des projets au long cours menés dans les territoires palestiniens, au Maroc et au Brésil, elle interroge son propre rapport aux territoires sur lesquels elle évolue et celui des individus à leur environnement. Un travail photographique qui oscille entre une démarche documentaire et poétique qu’elle commence à expérimenter plastiquement depuis 2018 en y mêlant, de manière formelle, son travail d’écriture. Elle développe son travail au cours de différentes résidences, notamment à la Fondation Montresso (Maroc) et dernièrement, à la Villa Médicis à Rome.Mouna Saboni a exposé son travail en France à l’Institut du Monde Arabe, au Bal et lors de Paris-Photo mais également au Maroc, au Mexique ou encore aux Pays-Bas. En 2012 puis en 2020, ses photographies entrent dans la collection de la Fondation d’Entreprise Neuflize-Vie pour la photographie et ont été acquises en 2021 par le CNAP. Durant la même année Mouna Saboni est lauréate du Prix Lagardère et lauréate de la commande publique « Radioscopie de la France », pilotée par la BNF.Son travail figure dans deux livres écrits par Michel Poivert :– 50 ans de photographie française de 1970 à nos jours (éd. Textuel, 2019) – Contre-culture dans la photographie contemporaine (éd. Textuel, 2022) [...] Lire la suite…
Actus6-7-8 juin 2025 Graph53 rue de Verdun – Carcassonne Une approche sensible du portrait Le Graph propose un stage avec le photographe Fredéric Stucin sur une approche sensible du portrait. La réalisation d’un portrait est soumise à de multiples contraintes. Le modèle, le lieu, la lumière, sont des éléments qui vont guider la prise de vue mais qui ne doivent cependant pas effacer la sensibilité de la personne photographiée. Ce stage se concentrera sur la lumière et sur le rapport au modèle. Fréderic Stucin partagera ses expériences, des solutions et des astuces qui permettent de mener une séance et de s’approprier une lumière. A l’image d’un collectif, les participants partageront leurs sensations, leurs regards sur les travaux en cours, questionneront le rapport des images entres elles. Frédéric Stucin, un photographe du réel et de l’imaginaire Fréderic Stucin est un photographe français né en 1977, diplômé de l’École Nationale Supérieure Louis Lumière. Il vit et travaille à Paris. Spécialisé dans le portrait de personnalités ou d’anonymes, notamment pour la presse, où il publie également des reportages, il mène en parallèle un travail documentaire et artistique plus personnel qui mêle portrait et paysages. Des projets qu’il initie seul ou en résidences. Plusieurs de ses dernières séries (La Source,2021, Endorphine,2021, Le décor, 2020) nous plongent dans des atmosphères nocturnes énigmatiques, avec un procédé proche de celui de la nuit américaine au cinéma : il photographie en journée et dissimule dans le décor des éclairages qui donnent aux lieux l’apparence de studios photographiques ou de plateaux de tournage. Son travail conjugue ainsi étroitement exploration du réel et imaginaire. Ses photographies ont fait l’objet de plusieurs expositions, à la Villa Pérochon à Niort, au festival Portrait(s) de Vichy, au HPAC de Bruxelles, au Musée Niépce à Chalon sur Saône ainsi qu’aux rencontres d’Arles, au Carré de Baudouin ou au quai de la photo à Paris. Il est lauréat de la grande commande photographique de la B.N.F en 2022. Le stage en pratique Dates et horaires• Vendredi 6 juin : 19h-21h organisation du stage, présentation du travail de Fréderic Stucin. • Samedi 7 juin : 9h-12h / 14h-18h déroulé du stage• Dimanche 8 juin : 9h-12h30 / 14h-17h déroulé du stage 17h-18h bilan de stage Tarif300 € TTC (250 € TTC pour les adhérents du GRAPh depuis plus de trois mois au moment de l’inscription). Possibilité de paiement en trois fois. Hébergement et repas à la charge de chacun. PrérequisPosséder son propre matériel de prises de vues. Nombre de stagiaires 12 (minimum 8) Renseignements inscriptionsFiche d’inscription : téléchargerGRAPh Groupe de Recherche et d’Animation Photographique Maison des mémoires 53 rue de Verdun 11000 Carcassonne tél. : 04 68 71 65 26 – mail : cmi.graph@gmail.com [...] Lire la suite…
Actus5 mars/11 avril 2025 Toulouse – CHU Rangueil Le Bal – exposition photographique Depuis le Moyen Âge, les bals rythment la vie sociale, évoluant au fil des siècles de cérémonies codifiées à des événements festifs. Aujourd’hui encore, ils demeurent des espaces de rencontre et de partage, porteurs d’une mémoire collective et ancrés dans l’identité culturelle locale. À Carcassonne, ces bals sont une institution, façonnant l’âme de la ville audoise et rassemblant toutes les générations au sein de lieux emblématiques. Parmi eux, le Païcherou occupe une place centrale : un point de convergence où se croisent histoires personnelles et traditions populaires, où la danse transcende les différences et tisse des liens immuables. Éric Sinatora nous invite ici à redécouvrir l’effervescence des bals d’été à travers sa série photographique réalisée dans le cadre du projet « Le Bal dans l’Aude ». Avec un regard à la fois poétique et documentaire, il capture ces instants suspendus, explorant la beauté fugace du mouvement et l’émotion des visages éclairés par la fête. Les images s’imprègnent d’une esthétique singulière, aux couleurs éclatantes, dans une ambiance lithographique où se mêlent l’esthétique de la photographie à celle de l’aquarelle. Intemporelles, elles font vibrer les souvenirs et résonner la nostalgie des bals d’antan. Le travail photographique de l’artiste devient ainsi une véritable danse visuelle, une ode aux corps en mouvement et aux âmes en fête, transportant les visiteurs au cœur des nuits festives de l’Aude. Ce projet est réalisé à la demande de l’ADDM 11 (Arts Vivants 11), et avec le soutien de la DRAC Occitanie. Eric Sinatora Éric Sinatora est photographe, membre fondateur et directeur du GRAPh à Carcassonne depuis 1990. Acteur majeur du paysage photographique en Occitanie, il co-fonde le réseau Diagonal et dirige le festival Fictions Documentaires, affirmant son engagement pour une photographie à la croisée du documentaire et de l’expérimentation artistique. [...] Lire la suite…
Actus14/29 mars 2025vernissage le 14 mars à 18h30 Alairac – Espace des Arts et RencontresExposition visible sur le temps des concerts et des stages du Printemps des notes Tango – exposition photographique Au tout début de chaque été, les rues de Toulouse résonnent au son des musiques du tango. Les bals, les milongas, les concerts sont partout sur les places, les terrasses de café, les bords de Garonne… le public Toulousain et plus lointain est fidèle au rendez-vous annuel du Festival Tango Postale. Ce sont ces moments de danse photographiés sur le vif lors de plusieurs années consécutives du Festival que j’offre à votre regard. Le langage universel de la danse me passionne, j’avoue avoir été envoûtée par l’élégance et la sensualité de ces couples dansant le Tango.  J’ai souhaité photographier les relations fortes, intenses et complices entre les partenaires, les corps enlacés et transportés par le rythme de la musique. On y retrouve mes sujets favoris : les regards, les mains, les attitudes et les jeux de lumière… La photographe La photographie est devenue au fil du temps une passion qui n’a jamais quittée Marie. Autodidacte, elle a fait l’apprentissage de la photographie vraiment sérieusement lors de workshops, dont le premier mémorable avec Jean Dieuzaide. Elle a beaucoup pratiqué sur son temps libre, d’abord en argentique puis en numérique. Elle a eu l’occasion et le plaisir d’exposer lors de festivals, en solo ou avec d’autres photographes. Elle partage régulièrement ses travaux en cours avec le groupe de recherche du Graph à Carcassonne. Les gens simples l’attirent, ceux dont on ne parle pas ou qu’on oublie facilement, c’est ainsi que la ruralité et le handicap l’ont touchée.  Photographier les corps en mouvement fait aussi partie de sa pratique, elle en a saisi la beauté, le mouvement et la grâce des mains de la langue des signes ainsi que l’aisance et l’agilité corporelle des danseurs. Elle recherche avant tout une lumière, l’authenticité ainsi que l’échange émotionnel et profond avec les personnes photographiées. Saisir l’instant la passionne en allant au-delà de ce que voit l’oeil humain, capter l’invisible est son défi. [...] Lire la suite…
Actus26-03/31-05 2025 mars Carcassonne – Le Bis-Troquet (22 rue Chartrand)fermé le lundi Entre deux vagues Quand l’été s’efface, la plage s’engage dans un moment suspendu entre deux temps, entre deux saisons. Les rires s’éloignent avec le vent, les empreintes disparaissent et les vagues absorbent les derniers cris d’enfants. Cette série photographique capte cet instant de transition, entre la présence diffuse des vacanciers et leur départ. La mer, témoin presque indifférent, continue son éternel va-et-vient. Les espaces vidés deviennent des pages blanches, prêtes à accueillir de nouvelles histoires, tandis que celles de l’été passé se dissipent peu à peu, ne laissant que quelques retardataires profiter des dernières chaleurs. Ces images tentent de saisir l’invisible : ce qui subsiste dans l’absence et ce qui se dissipe dans l’existant. Le regard devine encore dans la lumière et dans l’air, les jeux et les joies des vacances révolues. C’est une ode au temps qui passe, à ce moment fragile où l’effacement devient souvenir. Cette exposition est organisée par le Graph dans le cadre de la Primavera de l’Image. La photographe Zoé GUIBAL est un·e photographe de 21 ans qui explore l’art de l’image depuis près de 5 années. Après 3 ans d’ateliers avec l’association GRAPh-CMI à Carcassonne, iel s’installe à Toulouse et rejoint l’atelier Recherche du Centre Culturel Saint Cyprien. Son travail est nourri par ce qui l’entoure, par des expérimentations techniques et par ses combats militants comme les luttes contre les discriminations et l’invisibilisation des minorités. Ses photographies ont déjà été présentées lors de quatre expositions et lui ont valu deux prix. En 2025, Zoé est programmé.e dans 3 lieux d’exposition. Insta @zoe.guibal Contact  zoeguibalphotographe@gmail.com A propos de la Primavera de l’image… Le GRAPh-CMI présente la deuxième édition de la Primavera de l’Image. Ce printemps de l’image se veut être un coup de projecteur sur la création photographique initiée par le GRAPh au sein de ses différents ateliers « Création et Recherche » mais également, de montrer le travail de ses membres. Cette Primavera de l’Image, précède l’ouverture de la programmation 2025 composée d’expositions, de résidences d’artistes, de workshop, de rencontres, de projections et du festival Fiction documentaire organisé par le GRAPh sur l’ensemble du territoire audois et au-delà. Chacun des photographes exposants présente un projet personnel développé au sein de l’atelier «Création et Recherche», troisième niveau après l’initiation et la création, qui s’adresse à des photographes désireux de se professionnaliser. [...] Lire la suite…
Actus17/23 mars Carcassonnevernissage le 19 mars à 18h30 Chapelle des Dominicaines (17 rue de Verdun)du mardi au samedi 11h-18h • dimanche 11h-16hENTRÉE LIBRE ET GRATUITE Exposition collective des photographes de l’atelier Recherche et création Organisée par le Graph, cette exposition collective met en lumière la création photographique au sein des ateliers « Création et Recherche » du GRAPh. A propos de la Primavera de l’image… Le GRAPh-CMI présente la deuxième édition de la Primavera de l’Image. Ce printemps de l’image se veut être un coup de projecteur sur la création photographique initiée par le GRAPh au sein de ses différents ateliers « Création et Recherche » mais également, de montrer le travail de ses membres. Cette Primavera de l’Image, précède l’ouverture de la programmation 2025 composée d’expositions, de résidences d’artistes, de workshop, de rencontres, de projections et du festival Fiction documentaire organisé par le GRAPh sur l’ensemble du territoire audois et au-delà.Chacun des photographes exposants présente un projet personnel développé au sein de l’atelier «Création et Recherche», troisième niveau après l’initiation et la création, qui s’adresse à des photographes désireux de se professionnaliser. Cliquez sur la flèche à gauche du titre pour lire la suite des textes de présentation. LES LIMITES | Marielle BerteL’implantation des zones commerciales en bordure de ville a connu une croissance significative au cours des dernières décennies, répondant à la demande croissante des consommateurs pour un accès facilité aux biens et services. Ces zones modifient profondément le paysage ambiant. D’une part elles favorisent le développement économique local créant des emplois et attirant des investissements.Mais d’autre part, leur expansion provoque une urbanisation excessive entraînant la « consommation » de terres agricoles et la fragmentation des paysages naturels, tout en altérant le cadre de vie des campagnes environnantes.Enfin, elles incitent à une dépendance accrue à la voiture, augmentant ainsi le trafic et les émissions de gaz à effet de serre. En somme, bien que les zones commerciales apportent des avantages économiques, leur impact sur le paysage rural et l’environnement mérite une attention particulière pour garantir un développement durable. Marielle BERTE Les photos présentées sont extraites d’une série de 30 photos effectuées dans les agglomérations de Carcassonne et de Castelnaudary. Marielle BERTEIl y a une douzaine d’années j’ai quitté les pinceaux pour un appareil photographique. Depuis il est devenu mon œil, ma palette de couleurs et le témoin de mes découvertes. Mon attirance pour les scènes de vie, mon penchant pour les portraits de rue, mon désir de retranscrire le moment, et ma passion pour la nature d’ici et d’ailleurs ne font que satisfaire ma curiosité. LIEUX OUBLIÉS | Pierre Boyer Exploration urbaine A travers cette exposition, je t’invite à découvrir des histoires de vie, Observe… Imagine…  Rêve ou bien… Invente !Merci d’être passé.e, Pierre Boyer NAPLES | Yannick CanoEn famille nous ne parlions que rarement de nos origines, je ne connaissais Naples qu’à travers les récits des gens du quartier, les films de Mafia, et la cuisine.  A l’époque de mon père le quartier n’avait pas bonne réputation dans la ville, pour les français de souche les italiens qu’ils soient de Gaète, Naples ou bien Cetara étaient tous des Calabrais. Plus tard, j’ai pris conscience de la force de la culture Napolitaine dans nos foyers, les cuisines sentaient bon l’Italie, notre vocabulaire était riche de mots Napolitains. Je me souviens d’Ambroise un enfant du quartier rentré au pays. Et tous ces matelots qui passaient la saison de pêche à Sète. A l’école nous avions pour la majorité d’entre nous des noms à consonance méditerranéenne. Nous ne sommes pas nombreux à ne pas avoir fait la communion, la plupart de mes copains étaient enfants de chœur. Nos familles ont quitté la Campanie à la fin du 19ème siècle et pourtant un siècle plus tard nous sommes toujours un peu Napolitains. Qui n’a pas eu sa corne en or à sa naissance ? Qui n’a jamais juré en dialecte ? Est-ce le linge propre aux balcons ? Est-ce le parler fort ? Ou les odeurs de la macaronade dominicale et des tielles que nous amenions cuire chez Lubrano le boulanger ? C’est après avoir lu Elena Ferrante et les similitudes avec mon enfance, que j’ai eu envie d’aller à Naples. Ce fut un choc pour moi de découvrir le chaos, du centre historique. Loin des récits paradisiaques de la ville lumière. Je me suis pourtant de suite senti chez moi, mais inlassablement la même question : que serai-je devenu si mes aïeux étaient restés ici ? Quel aurait été mon destin ? Ils ont fui la misère, nous n’étions pas camorristes mais plutôt communistes. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec les vagues migratoires contemporaines. Ma famille est-elle arrivée à Sète en bateau ? Comment ont-ils été accueillis ? Ils sont devenus français et ont pu donner à manger et une éducation à leurs enfants, ce pourquoi ils étaient venus. Ils ont indéniablement marqué Sète de leur culture. Je me sens pleinement français, mais mon fils s’appelle Toni, avec un I s’il vous plait. UN LIEU UNIQUE | Bénédicte CostesecCette série s’inscrit dans un travail photographique sur le passage du temps.  Considérer le corps comme un lieu, un lieu unique.Malgré le passage du temps et ses effets sur le corps, celui-ci n’en demeure pas moins unique et vivant. Il se transforme, grandit, vieillit mais reste un même lieu. Il est le réceptacle et le témoin du temps qui passe. Ce travail photographique consiste à mettre en présence ce lieu unique d’aujourd’hui avec celui d’hier. La nouvelle image apparaissant sur l’ancienne génère un étrange paradoxe : l’ancien corps est jeune, le nouveau corps est usé. La mise en abime est singulière dans la fusion de deux prises de vue de ce lieu unique, à 50 ans d’intervalle. La confrontation de ces deux espaces temps, en soulignant de façon abrupte la transformation du corps, peut paraitre cruelle. Pourtant, l’acceptation de cette confrontation et l’adhésion à cette nouvelle image sont à la fois un signe de respect de soi et un témoignage d’amour.  Le corps comme lieu de mémoire.Transcendant les effets du temps, il s’agit aussi d’épouser un instant, de se remémorer une période de bonheur, de réécrire un nouveau souvenir heureux : celui de la prise de vue vécue comme un moment de plaisir et de complicité. Outre le postulat de départ fondé sur le dialogue entre le passé et le présent, ce lieu de mémoire est aussi l’expression de 50 années d’amour. De l’amour d’un père qui photographie ses enfants. De l’amour d’un homme pour une femme. De l’amour de cette femme pour cet homme. De l’amour d’une fille pour ses parents.Des années après, cette composition photographique laissera une nouvelle trace dans mon histoire familiale.  B. Costesec DÉSERTÉS ? | Marie-Luce DehondtElles sont là et bien là. Avec toutes leurs émotions, leurs rires, leurs colères, mais pas leurs souvenirs. Il y a des phrases incompréhensibles, des conversations sans limite, pleines de mots qui se sont libérés du champ sémantique… elles battent la campagne, ce sont des personnes, mais touchées par la maladie d’Alzheimer. Elles sont en friche comme les lieux abandonnés que j’ai l’habitude de photographier. Mais ne sont pas désertées, elles sont là, en attente d’un regard qu’elles se mettent à comprendre sans y penser. Je suis allée à leur rencontre dans les ateliers d’art-thérapie portés par l’association Agorart à Limoux. Ce montage vidéo veut témoigner de la vitalité et de la joie qui nous habitent, au plus sombre de nos jours, quand l’art vient réveiller notre capacité à être… Ce travail a été présenté lors de l’exposition « Désertés ? » à l’EHPAD Chénier en 2020. Cette exposition articulait un dialogue entre mes photographies de lieux abandonnés et le travail des résidents dans les ateliers d’art-thérapie, présenté dans le montage photographique titré « Instantanés », et les ateliers de danse-thérapie et de musico-thérapie faisant l’objet d’une vidéo intitulée Renaissances ». Le programme Hosto’Art Porté par l’association Agorart, soutenu et accueilli par l’EHPAD Chénier de Limoux, le programme Hosto’Art a pour objectif de développer les pratiques artistiques (expositions, ateliers d’art-thérapie, de musicothérapie, de danse-thérapie…) au sein des maisons de retraite, hôpitaux, et autres lieux d’accueil. L’enjeu est de faire bénéficier les résidents, comme les visiteurs, des bienfaits de l’art, vecteur de bien-être et de liens sociaux, et de plus en plus reconnu par la communauté scientifique pour son apport thérapeutique, notamment dans les maladies neurodégénératives.  Pour tout renseignement, contacter Sylvie Vilboux, musico-thérapeuthe, présidente d’Agorart sylvie.vilboux@gmail.com SEUL.E – Conte photographique | Pierre JammesCet ensemble photographique que je vous présente ici, capture des instants fugaces où les humains,au cœur de l’environnementurbain, se retrouvent dans une solitude qui leur est propre. Ces moments, parfaitement banals, révèlent une vérité profonde : même au sein de la foule, l’individualité ne disparaît pas. J’ai voulu détacher chaque individu de la pléthore urbaine pour nous rappeler que nous existons tous, uniques et singuliers, avant de faire somme.Cette « solitude » vient soutenir l’idée que les individus ne se dissolvent pas dans la masse. C’est une ode à l’espoir que le génieindividuel perdure et prévale, malgré les pressions de la société actuelle.Ces quelques images, autour de ce thème, se veulent prière pour que les visions dystopiques des Verne, Huxley et autre Orwell restent de pures fictions. Elles nous rappellent que la démocratie ne subsistera qu’au prix de la préservation des individualités, loin de tout communautarisme.Je voudrais vous inviter à prendre le temps de réfléchir à la place de l’individu et de chacun d’entre nous dans notre société.Puissent, ces humbles photos, être une source de réflexion pour chacun d’entre nous.Pierre Jammes LIEUX D’ENFANCE | Monique Kaddour« Là où la Nature reprend ses droits »Il fut un temps où ce lieu résonnait de voix et d’éclats de rire, où chaque sentier, chaque pierre portait l’empreinte des jours insouciants. Aujourd’hui, la Nature a repris possession des murs et des chemins, tissant une nouvelle histoire sur celle du passé. Les photos présentées font partie d’une série intitulée la Traversée, qui sera exposée en septembre à la Maison des Mémoire à Carcassonne. Photographies : Monick KADDOUR Lieu : Hameau de Pujol de Bosc Aude LA LIGNE ROUGE | Jean-Philippe LacubeNous vivons une époque épique.Deux mondes cohabitent, un ancien déjà mort.Et un deuxième, à l’œuvre en ce moment, qui montre ses limiteset dont on sait qu’il n’a plus d’avenir. Leur coexistence jusqu’alors pacifique donne lieu à des scènes d’une rare violence pour la venue d’un monde nouveau.Quel sera-t-il ?Où sera-t-il ?Avec qui ? Suivez la Ligne rouge… CE QUE JE SUIS | Richard NegriJe m’appelle Léa, Catherine, Henri, Jenny, Jocelyne, je vis chez mes parents, en foyer, dans un studio indépendant en ville. J’aime le foot et Johnny, colorier des mandalas, sentir l’odeur des fleurs, manger des bonbons à la menthe et du chocolat, voir mon copain ma copine, écouter de la musique sur mon téléphone.  Tous les jours je prends le car pour aller travailler dans un ESAT en blanchisserie, façonnage, restauration, espaces verts et le matin quand le réveil sonne j’ai souvent envie de rester au lit encore un peu.  La journée je m’applique pour rester concentré.e et faire mon travail en qualité, le faire bien, car je veux être fier.e de ce que je fais et de ce que je suis. SÉRIE ROUGE | Clo Saint SauveurQuand on prend le Temps… l’esprit voyage ! BRÛLURES | Bruno VialaneixTrès concerné par ces sujets, Bruno Vialaneix a souhaité témoigner par la photographie des conséquences environnementales et humaines provoquées par les incendies destructeurs de l’Eté. Par le prisme d’une approche sensible et poétique, il propose au visiteur de l’accompagner en plein hiver en région narbonnaise, dans les paysages noircis du massif de la Clape, provoquant ainsi une tension émotionnelle certaine, accentuée par l’ambiance équivoque de la tombée de la nuit durant laquelle les prises de vue ont eu lieu. Il n’oublie pas de questionner les pompiers victimes du feu auquel il rend hommage. [...] Lire la suite…
Non classé17 & 18 JUILLET 2024 Château de Malves-en-Minervois (Aude) Le GRAPh organise un événement estival autour de la photographie sociale dans le parc du Château de Malves-en-Minervois. Cette université d’été est pensée comme un moment de rencontre, d’échange et de réflexion autour de l’évolution de la photographie sociale et comme un moment de découverte. Conférences, tables-rondes, projections, expositions photographiques. ÉCHANGER des idées, PARTICIPER aux débats, ASSISTER à des conférences, RENCONTRER des photographes, DÉCOUVRIR les expositions du circuit photographique en minervois, PARTAGER lors des projections en plein air … Un temps fort de la saison culturelle dans l’Aude ! DE LA PHOTOGRAPHIE SOCIALE AUX FICTIONS DOCUMENTAIRES / PROGRAMME CONFÉRENCES ET PROJECTIONS Mercredi 17 Juillet 14h : Ouverture des journées universitaires. « De la photographie Sociale à la Fiction Documentaire » par Christian Gattinoni, président de l’Université d’Été. 14h30 : “30 ans d’expérimentations”. Conférence d’Arno Gisinger, auteur photographe, autour de ses travaux photographiques expérimentaux sur la mémoire, l’archive, l’histoire portant sur l’exil… 15h30 : “Festival Usimages” par Fred Boucher. Le festival Usimages propose des expositions grand public autour de la thématique du patrimoine industriel et questionne l’idée du travail dans ses représentations historiques et contemporaines. 17h : Conférence de Julien Brygo. Vision d’un documentariste sur l’évolution du documentaire social, suivie par la projection de son film photographique “Glasgow contre Glasgow”(2014). 22h : Soirée de projection “Les Nuits Photographiques”. Sélection de films photographiques par Emilie Arfeuil, artiste visuelle, et Alexe Liebert, responsable des Nuits photographiques. Jeudi 18 Juillet 10h :  “Faire avec” par Hortense Soichet. En s’appuyant sur plusieurs de ses travaux, l’artiste chercheuse interrogera la place accordée “aux gens” dans les projets artistiques menés avec des publics stigmatisés, empêchés ou dominés. En discussion avec Julia Franc, Sociologue. 11h : Conférence de Georges Bartoli, « De la photographie de reportage à la fiction documentaire ». 14h : Conférence de Mathieu Polak, « La photographie sociale dans la contrainte de l’illustration ». Une fiction documentaire ou une création photographique peut-elle nous aider à comprendre le réel ? 15h : “Contre les fake news, les fictions documentaires ?” Table ronde animée par Christian Gattinoni. 22h : Soirée de projection plein air « The Sweet East » Présenté par le Festival CitéCiné, Festival International du Film Politique. / CIRCUIT EXPOSITIONS PHOTOGRAPHIQUES EN MINERVOIS Arno Gisinger – Voir l’histoire ? Parc du château – 11600 Malves-en-Minervois du 17 juillet au 30 août – Accueil de 8h/20h – 7J/7 Georges Bartoli – Le prix du travail Avenue des Chanoines – 11160 Villeneuve-Minervois du 17 juillet au 30 août – Accueil 24h/24 – 7J/7 Bruno Vialaneix – Brûlures Salle des Voûtes – 27bis rue Pol Lapeyre – 11700 Azille du 12 juillet au 9 août –  Accueil du mardi au samedi 9H/12H – 14h/17h et mercredi 9H/12H Viviane Dalles – Ce qu’il en reste Salle des expositions MAF – Avenue Pierre Curie – 11800 Trèbes du 13 au 28 juillet – Accueil du mardi au samedi 10h/12h – 16h/19h et le dimanche 10h/12h Léna Durr et Thomas Fiche – FACES à faces 46 avenue de la Montagne Noire – 11160 Caunes-Minervois du 4 mai au 27 juillet – Accueil sur rendez-vous 06 99 89 69 21 / SOUTIENS & PARTENAIRES Cette manifestation est organisée avec le soutien du ministère de la Culture, de la Région Occitanie, du Département de l’Aude, de Carcassonne Agglo, des Municipalités de Carcassonne, Malves-en-Minervois, Villeneuve-en-minervois, Azille et Trèbes et de nos partenaires associatifs et culturels, les Amis du Monde Diplomatique, la Galerie La Forestière et le festival CitéCiné. / PLAN D’ACCÈS A 15 min de Carcassonne A 10 min de Villeneuve-Minervois A 5 min de Trèbes / INFOS PRATIQUES 17 et 18 Juillet 2024 ENTRÉE LIBRE ET GRATUITE Château Malves-en-Minervois, avenue du Château – 11600 MALVES-EN-MINERVOIS / PRÉSENTATION du GRAPh-CMi Le GRAPh-CMi (Groupe de Recherche et d’Animation Photographique – Centre Méditerranéen de l’image) est actif en Occitanie depuis 1987. Association d‘éducation populaire, ses actions sont multiples : programmation, résidences, éducation à l’image, formation, développement des pratiques amateurs, lutte contre l’exclusion et les discriminations. En 2023 s‘est tenu son 7ème festival Fictions Documentaires. Celui-ci devenant biennal, en juillet 2024 le GRAPh-CMi met en place une nouvelle Université d’été au Château de Malves-en-Minervois. Pour réfléchir avec le grand public régional sur la cohérence de son action, le thème en sera «De la photographie sociale aux fictions documentaires». Artistes, universitaires, documentalistes et responsables de lieux photographiques, contribueront à cette clarification de son action pour tous à travers des conférences, des tables rondes, des rencontres, des projections et des expositions. www.graph-cmi.org Email : cmi.graph@gmail.com MAISON DES MÉMOIRES 53 rue de Verdun 11000 CARCASSONNE Téléphone : 04 68 71 65 26 / SUIVEZ-NOUS Événements sur Facebook Vidéo YouTube Site web du GRAPh-CMi [...] Lire la suite…
ExpositionEXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE PRÉSENTÉE PAR LE GRAPh-CMI ET LES ARCHIVES DEPARTEMENTALES DE L’AUDE Lebohang Kganye fait référence à l’essai de Christraud Geary intitulé « On the Savannah : Marie Pauline Thorbecke » publié dans l’Art Journal en 1990 et intitulé « Depictions of the Dispossessed » (représentations des dépossédés). Elle n’est pas intéressée par le fait de centrer les protagonistes coloniaux. Au contraire, elle se glisse elle-même dans tous les rôles et utilise des images et des récits existants pour impliquer des subjectivités moins connues. Dans cette nouvelle série qui accompagne l’installation cinématographique A Bur- den Consumed in Sips (2023), six scènes se déroulent dans des boîtes de diorama éclairées, dans lesquelles l’artiste assemble des photographies historiques de Marie Pauline Thorbecke provenant des archives du musée avec des épisodes de l’histoire camerounaise liés à l’histoire de l’Afrique. L’artiste y assemble des photographies historiques de Marie Pauline Thorbecke provenant des archives du musée avec des épisodes de l’histoire camerounaise liés au royaume de Bamum, fondé en 1394. Celles-ci deviennent la toile de fond de l’interprétation par l’artiste de divers protagonistes importants d’un récit « maître » contesté. Elle déconstruit ainsi le contexte colonial des images d’archives et situe leur signification dans une interrogation contemporaine sur la paternité des récits historiques dans le contemporain. Les « deux histoires des (hi)histoires » sont ainsi complétées par une perspective réimaginée – la sienne. Kganye continuera à développer ses recherches en problématisant davantage le regard mythologisant de Marie Pauline Thorbecke. Elle le fait en introduisant des récits oraux de l’histoire du Royaume de Bamum, recueillis au cours de son voyage de 13 jours, ainsi que la littérature des auteurs camerounais Idrissou Njoya et Nji Arouna Nchouwet Ndassa, ce qui est essentiel pour contrer le regard des historiens occidentaux qui ont écrit sur la période coloniale allemande dans le Cameroun des années 1880. Commissaire d’exposition: Christian Gattinoni CONFERENCE « Henry de Monfreid / Lebohang Kganye : deux situations historiques et artistiques, pour une création africaine masculin/ féminin. » Par Christian Gattinoni, conseiller artistique du festival Fictions Documentaires, membre de l’Association Internationale des Critiques d‘Art. Jeudi 25 avril 2024, 19h-20hAux Archives Départementales de l’Aude Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles Instagram ***Contact:cmigraph@gmail.com04 68 71 65 26Adhérer et soutenir le GRAPh : https://graph-cmi.org/adherer [...] Lire la suite…
ExpositionLe GRAPh a le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition « Les Interstices » de Frédéric Stucin, le VENDREDI 17 MAI 2024 A 18H Rendez-vous à la Maison des Mémoires, 53 rue de Verdun à Carcassonne. L’exposition sera visible du 07 mai au 15 juin 2024. Ouvert au public du mardi au samedi, de 10h à 13h et de 14h à 18h. Entrée libre et gratuite. *** L’exposition et le livre de photographies de Frédéric Stucin, Les interstices, accompagnés d’un texte d’Ondine Millot, ont pu voir le jour grâce au dispositif Capsule du ministère de la Culture. Le projet a reçu les soutiens de la Drac Nouvelle-Aquitaine, de l’Agence régionale de la Santé de la Nouvelle-Aquitaine dans le cadre de l’appel à projet Culture Santé, du Centre hospitalier de Niort, de l’association PEPPSY (Prêts et Externalisation pour la PSYchiatrie), de Radio Pinpon et du Pôle de photographie Stimultania. Ce projet a été initié et piloté par la Villa Pérochon avec l’étroit partenariat et la co-construction du service psychiatrique de l’hôpital de Niort : La P’tite Cafète. [...] Lire la suite…
ExpositionLe GRAPh a le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition « Hylé » d’Emilie Arfeuil Photographe et « Ce qu’il en reste » de Viviane Dalles, le VENDREDI 19 AVRIL 2024 A 18H30 Rendez-vous aux Essarts, espace arts et cultures de Bram. L’exposition sera visible du 20 avril au 02 juin 2024. Ouvert au public du mercredi au dimanche, de 14h à 18h. flyer_arfeuil_dallesTélécharger [...] Lire la suite…
ExpositionA l’occasion de la 3ème édition des Rencontres PHOTOgraphiques de Mailhac, douze clubs Photo de l’Aude sont invités à exposer dans douze lieux du village (gîtes, caves viticoles, salle des fêtes…). Eric Sinatora, directeur du GRAPh-CMi est le parrain de cette édition. L’événement aura lieu le dimanche 28 avril 2024, de 10h à 18h. Une tombola et un défi photo sont au programme de cette journée. Un espace restauration est prévu sur place avec notamment la possibilité de prendre le petit-déjeuner et/ou l’apéritif du soir. Un dîner sous forme d’auberge espagnole clôturera cette journée de rencontres. L’objectif de cet événement est de réunir les photographes des clubs audois, d’échanger et de partager autour de la pratique photographique et de peut-être, susciter l’envie de pratiquer en club. [...] Lire la suite…
ExpositionPour clôturer la première édition de « La Primavera de l’Image », le GRAPh vous donne rendez-vous le 26 avril pour le Zinc de l’Image! Projections photographiques et rencontres des artistes Gilberto Güiza-Rojas et Bénédicte Costesec, ainsi qu’une dégustation des vins du domaine de Prat Majou sont au programme de cette soirée. Les artistes Gilberto Güiza-Rojas est né en Colombie en 1983. Il habite et travaille en région parisienne. Artiste contemporain, lauréat du Grand Paris dont les œuvres figurent dans les collections de Centre National des Arts-plastiques, il présentera son actualité, ses dernières expositions et son travail en cours. Il travaille sur la gestuelle du travail et porte un regard contemporain sur la photographie sociale. L’ensemble de sa démarche cherche à approfondir, par la voie de la performance et d’une exploration gestuelle avec les travailleurs et les travailleuses, la problématique du travail manuel parfois précaire et invisibilisant. L’artiste crée des espaces de représentation où les participants à ses projets peuvent devenir des actrices ou des acteurs et prendre part de la construction de la mise en scène. Bénedicte Costesec, photographe émergente en Occitanie, mène des projets au long cours sur des thématiques telles que la résilience, la honte et la recherche de ses origines. Infos pratiques 26/04 à 20hChâteau de Malves-en-Minervois, rdc du château.Entrée libre et gratuite Instagram Facebook Contact:cmigraph@gmail.com04 68 71 65 26Adhérer et soutenir le GRAPh : https://graph-cmi.org/adherer [...] Lire la suite…
Grande Lessive / Non classéJeudi 21 mars 2024 La Grande Lessive approche! Le 21 mars, le GRAPh-CMI vous invite à venir accrocher vos réalisations A4 sur le thème de « Faire des bulles » sur des cordes à linge. Celles-ci seront présentes dans deux lieux du centre-ville de Carcassonne: la Chapelle des Dominicaines (9h-17h) et au square Gambetta (9h-17h). Attention! L’événement est annulé Place Carnot. Cet événement international est accessible à tous!Un seul objectif: créer une installation artistique géante! LA GRANDE LESSIVE-Dossier-explicatifTélécharger Plus d’informations sur notre page Instagram. [...] Lire la suite…
2023 / Non classéDu 01 mars au 26 avril 2024 Le GRAPh-CMI présente la première édition de la Primavera de l’Image. Ce printemps de l’image se veut être un coup de projecteur sur la création photographique initiée par le GRAPh au sein de ses différents ateliers: initiation, création et recherche mais également, de montrer le travail de ses membres. Cette Primavera de l’Image, précède l’ouverture de la programmation 2024 des expositions et des résidences organisées par le GRAPh sur l’ensemble du territoire audois et au delà.   Retrouvez l’ensemble de la programmation de la Primavera de l’Image ci-dessous et sur notre page Instagram. Primavera de l’Image 2024- Programmation  Télécharger [...] Lire la suite…
2023 / festival 2023Dans le cadre de la 7e édition du festival Fictions documentaires, le GRAPh est heureux de vous inviter au vernissage de l’exposition photographique « Je n’habitais pas mon visage » de Mathieu Farcy. Rendez-vous à la Maison de ma région – Carcassonne le samedi 18/11 à 11h30. > Exposition visible du 18/11 au 15/12 2023 (8h30-12h et 13h30-17h) > Maison de ma région- 5 Rue Aimé Ramond, 11000 Carcassonne 04 67 22 91 11 [...] Lire la suite…
festival 2023 / Non classé / Page FestivalLe GRAPh a le plaisir de vous inviter au vernissage de la 7e édition du festival Fictions Documentaires!Rendez-vous le vendredi 17 novembre à 19h30, à la Maison des mémoires, au 53 rue de Verdun 11000 Carcassonne. Il sera précédé d’une performance théâtrale mise en scène par la compagnie Zé Régalia Théâtre, inspirée par les photos de SMITH. Rendez-vous à la Chapelle des Dominicaines, 17 rue de Verdun à 19h. Affiche du festival Fictions Documentaires 2023 (c) SMITH [...] Lire la suite…
2023 / festival 2023Le GRAPh a le plaisir de vous inviter au vernissage de la 7e édition du festival Fictions Documentaires!Rendez-vous le vendredi 17 novembre à 19h30, à la Maison des mémoires, au 53 rue de Verdun 11000 Carcassonne.Il sera précédé d’une performance théâtrale mise en scène par la compagnie Zé Régalia Théâtre, inspirée par les photos de SMITH. Rendez-vous à la Chapelle des Dominicaines, 17 rue de Verdun à 19h. « Il faut beaucoup d’artifice pour faire passer une parcelle de vérité. » Robert Antelme, L’espèce humaine Pour cette septième édition du festival Fictions Documentaires, réduite pour des raisons économiques à quatre expositions différentes, deux champs de recherche sont explorés: celui du care, (du soin) avec Je n’habitais pas mon visage de Mathieu Farcy en dialogue avec des personnes victimes d’un cancer du visage et d’une reconstruction faciale ainsi que l’ensemble des images produites en thermographie par SMITH pour répondre à la commande d’Act Up dans leur lutte contre le sida. Une seconde direction d’étude montre les persistances du passé dans nos sociétés. Trois artistes, chacun représentatif d’une génération, explorent leurs mythologies personnelles en lien à l’Algérie où se trouvent leurs racines. Louise Narbo, Stéphane Léage et Dominique Mérigard explorent ces douloureux Legs d’Algérie. Cyril Abad et Eugénie Baccot dans une longue résidence en Estonie récupèrent la légende ancienne d’une créature incertaine menaçant la vie des populations pour actualiser les craintes des nouvelles technologies qui sont produites intensément dans ce pays, d’où La métaphore du Kratt. Christian Gattinoni, conseiller artistique du festival Visionner le dossier de presse     PRÉSENTATION DE NOS EXPOSITIONS SMITH /// SAVOIR C’EST POUVOIR En amont du mois des Fiertés, Act Up-Paris a lancé une campagne de prévention sur la santé sexuelle à destination du grand public et de la communauté LGBTQI+. Son objectif repose sur de multiples constats. Ces 15 dernières années, se sont accumulés de nombreux échecs malgré des avancées importantes en matière de prévention. Les photographies de cette campagne ont été réalisées par le photographe SMITH à l’aide d’une caméra thermique. Ce dispositif permet de montrer la nudité des corps sous un angle inattendu, jamais vu et décalé. Chapelle des Dominicaines, 17 Rue de Verdun 11000 Carcassonne. Du mardi au dimanche, 14h>18h et le samedi, 10h>12h et 14h>18h. Exposition visible jusqu’au 10 décembre 2023. BIOGRAPHIE SMITH, né en France en 1985, est un artiste plasticien diplômé de l’École Nationale Supérieur de la Photographie d’Arles. Le parcours de SMITH est constitué d’allers-retours continus entre recherche théorique et pratique artistique sur lesquelles sont concentrés sur l’exploration d’une notion directrice: l’identité humaine, à travers ses mues, ses altérations, ses résistances, ses hybridations et ses frontières. SITE WEB     MATHIEU FARCY /// JE N’HABITAIS PAS MON VISAGE “Je n’habitais pas mon visage” m’a dit Samia, lors de l’un de nos entretiens. Son visage comme une maison désertée. Abandonnée. Comme les quatre autres participant.e.s de ce travail, Samia a eu un cancer du visage suivi d’une reconstruction. Un tel parcours prend plusieurs années et marque la peau autant que la psyché. Chacun.e a vécu différemment la disparition d’un visage connu pour s’engager dans un labyrinthe d’incertitudes. Tout ce projet prend d’abord racine dans le désir d’une création commune ainsi que plusieurs interrogations:Comment rendre compte d’un traumatisme si grand que la perte de son propre visage ?Comment créer un espace d’élaboration à partir de ressentis, d’expériences et de rêves ?Comment rendre plus horizontale la création artistique ? Lors des premières rencontres avec des personnes défigurées nous échangions autant sur leur parcours hospitalier que sur leur ressentis vis-à-vis d’eux-mêmes ou d’autrui. Personne n’avait, à priori, d’idée de création définie. Mais tou.te.s ressentaient la nécessité d’élaborer et de créer à partir de leur expérience si particulière. Maison de la Région, 5 rue Aimé Ramond 11000 Carcassonne. Du lundi au vendredi, 8h30>12h et 13h30>17h. Exposition visible jusqu’au 15 décembre 2023. BIOGRAPHIE Basé à Amiens, Mathieu Farcy travaille dans les Hauts-de-France. Educateur spécialisé puis photographe, la question de la disqualification sociale anime toujours son travail. Après l’avoir abordée au travers de deux projets : un reportage avec les ouvriers en réinsertion de l’usine Le Relais dans la Somme et un documentaire vidéo sur les ouvriers de Goodyear à Amiens. Il réalise actuellement un projet au long cours autour du lien entre visage et identité. SITE WEB     LOUISE NARBO /// VOYAGE EN TERRE OUBLIÉE « Voyage en terre oubliée » parle d’un retour en Algérie, ma terre d’origine. Mais d’un retour de forme singulière, celle d’un voyage intérieur, à la recherche d’un oubli, d’un silence. Cet étrange silence qui suit les détonations de la guerre. Le long silence de l’exil. Au début de ce projet, j’ai regroupé mes photographies argentiques des années 1980, de style classique. On peut parler de nostalgie de la terre, d’émotion devant la végétation méditerranéenne et de la chaleur de ses étés. Ce sont des souvenirs exotiques. C’est en 2017, que j’ai pris l’engagement de m’attaquer au refoulement de cette guerre vécue dans l’enfance. Et cette décision émergea peu après un laborieux voyage à Cuba. Les paysages de ce pays me rappelaient probablement d’autres paysages… Le temps était venu d’exhumer cette valise fermée, enlisée dans la vase profonde de mon passé. Maison des Mémoires, 53, rue de Verdun 11000 CARCASSONNE. Du mardi au samedi, 10h>13h et 14h>18h, les dimanches 14h>18h. BIOGRAPHIE Née en Algérie, Louise Narbo s’installe à Paris au lendemain de la guerre d’indépendance. Après des études universitaires, elle s’initie à la photographie argentique monochrome. Autodidacte par la suite, sa formation se fera au gré de ses lectures et de ses rencontres. Sa sensibilité l’a poussée vers l’exploration de la vie intérieure, les ressentis, l’émotion. SITE WEB     STEPHANE LÉAGE /// DU SABLE DANS LES ARCHIVES Stéphane Léage dans son projet « du sable dans les archives » a collecté des photos et des documents de ses proches sur plus de cent ans de présence en Algérie. Ils étaient dispersés et voués à l’oubli. L’auteur, sans dénaturer l’esthétique des images d’époque, leur a donné une nouvelle forme plus contemporaine. Il a aussi recueilli des témoignages de ses proches et réussi à briser les silences de sa famille sur cette longue période. Les récits intimes s’entremêlent à la Grande Histoire. Les événements rebondissent d’une époque à l’autre et beaucoup d’entre eux sont malheureusement toujours d’actualité : rejet de l’autre, antisémitisme, guerre, exil, migration, pauvreté. Maison des Mémoires, 53, rue de Verdun 11000 CARCASSONNE. Du mardi au samedi, 10h>13h et 14h>18h, les dimanches 14h>18h. BIOGRAPHIE Stéphane Léage devient photographe-auteur sur les questions de territoire après avoir mené une pratique autodidacte couvrant ses nombreux voyages en Asie, Afrique et Amérique du Sud. Ses travaux questionnent sur les notions de territoire, d’identité et de mémoire (celle de l’Algérie par exemple). Il a enrichi son expérience de nombreux stages dans les domaines de l’Histoire (Jeu de Paume) et des techniques photographiques (Centre Verdier, ateliers Beaux-arts de la ville de Paris). SITE WEB     DOMINIQUE MÉRIGARD /// LES HORS-CHAMPS DE L’HISTOIRE. Mémoires d’Algérie, 1954-1962 Dans sa série Les hors-champs de l’Histoire, Dominique Mérigard, au travers des archives photographiques de trois de ses proches, jeunes appelés lors de la guerre d’Algérie, revient sur des pans de mémoire oubliés. Leurs images ressemblent à toutes celles réalisées par les conscrits entre 1954 et 1962, destinées à se remémorer, plus tard. Elles ne nous disent rien des événements, elles ne lèvent pas le voile sur ce qui s’est joué. C’est le silence qui a généralement accompagné leur retour d’Algérie. Les photos et objets remis en scène par Dominique Mérigard deviennent matière à réactiver le passé, nous proposant de façon singulière une sorte d’envers du décor de l’Histoire officielle, dont on perçoit encore les échos dans notre société contemporaine. Maison des Mémoires, 53 rue de Verdun 11000 CARCASSONNE. Du mardi au samedi, 10h>13h et 14h>18h, les dimanches 14h>18h. BIOGRAPHIE Né en 1964, Dominique Mérigard vit et travaille à Paris. Il est diplômé de Estienne (école supérieure des arts et industries graphiques). Photographe et graphiste, au travers de ces photographies, Dominique Mérigard interroge les notions de temps, de mémoire, de transmission ou de perte. SITE WEB     CYRIL ABAD & EUGENIE BACCOT /// LA MÉTAPHORE DU KRATT Ce projet photographique à quatre yeux est destiné à mieux comprendre le rapport intime des estoniens à la nature au travers de leurs croyances païennes et leur relation de plus en plus fusionnelle avec les technologies dans un pays entièrement digitalisé. Avec la disparition de l’occupant soviétique, les rituels folkloriques et païens ne se sont jamais aussi bien portés en Estonie. Aujourd’hui 61% des estoniens pensent que le néo-paganisme est la « vraie » religion du pays. C’est donc tout naturellement que le gouvernement décide de faire référence au Kratt (créature magique de la mythologie païenne estonienne née du foin et des objets ménagers abandonnés) pour sensibiliser le grand public à la notion d’intelligence artificielle (IA) et permettre d’engager le débat sur le statut de cette IA. Ce projet vise au travers de différents dispositifs photographiques originaux, à illustrer cette métaphore du Kratt. Archives départementales de l’Aude, 41 Avenue Claude Bernard 11000 CARCASSONNE. Du lundi au vendredi, 9h> 17h   BIOGRAPHIES Cyril Abad et Eugénie Baccot, photographes indépendants, vivent et travaillent en France. Cyril mène un travail documentaire portant un regard singulier et souvent décalé sur la place de l’homme dans la société. Eugénie, dans une approche documentaire sensible et humaine, documente des communautés peu conventionnelles ou alternatives en prise avec des problématiques identitaires. SITE WEB CYRIL ABAD SITE WEB EUGENIE BACCOT [...] Lire la suite…
2023 / Festival / festival 2023Envie de découvrir les coulisses d’un festival de photographie?  Rejoignez l’équipe du GRAPh pour la mise en place et l’organisation du festival de photographie sociale FICTIONS DOCUMENTAIRES qui se déroulera du 17 novembre au 17 décembre 2023 à Carcassonne! Accueil du public, accrochage, médiation, gardiennage d’exposition… Il y en a pour tous les goûts ! Vous serez intégrés à une équipe constituée de bénévoles et de salariés de l’association. Que vous soyez disponible quelques heures ou plusieurs jours, n’hésitez pas à nous contacter. Nous recherchons des bénévoles disponibles entre le 23 octobre et le 20 décembre 2023. Rejoignez-nous sans attendre ! INFOS & CANDIDATURES: Intéressé par cette mission de bénévolat? Merci d’inscrire vos disponibilités via ce formulaire en ligne: https://forms.gle/LZaaLuyG6RqCuafo9 Retrouvez les actualités du festival FICTIONS DOCUMENTAIRES sur nos réseaux sociaux: Facebook Instagram Maison des mémoires 53 rue de Verdun 11000 CARCASSONNE 04 68 71 65 26 cmigraph@gmail.com [...] Lire la suite…
2023 / Ateliers / enseignement artistiqueC’est la rentrée des ateliers de pratiques amateurs proposés par le GRAPh !L’occasion de découvrir de nouvelles techniques, se perfectionner, s’exposer … Les ateliers photographie, arts plastiques et histoire de l’art reprendront au début du mois d’octobre ! Il y en a pour tous les âges et pour tous les goûts ; enfants, adultes, débutants, confirmés, curieux… Tout le monde est le bienvenu ! Une réunion d’information aura lieu le MARDI 19 SEPTEMBRE à 18h30 à la Maison des Mémoires (53 rue de Verdun, Carcassonne). Fiche de renseignement et d’inscription Atelier photographique : https://acrobat.adobe.com/link/review?uri=urn:aaid:scds:US:115eb793-5747-3c1a-b0f9-b203e7732b2 Atelier d’arts plastiques : https://acrobat.adobe.com/link/review?uri=urn:aaid:scds:US:c74cf375-f6b8-3aab-b1b7-7e9034659d3f Atelier et conférence d’histoire de l’art : https://acrobat.adobe.com/link/review?uri=urn:aaid:scds:US:b3643d94-c939-3e3c-869a-44bb2d44e634 notre page HelloAsso : https://www.helloasso.com/associations/graph-cmi #graph #graphcmi #ateliers #artsvisuels #art #photographie #artsplastiques #histoiredelart #culture [...] Lire la suite…
Non classéAPPEL A CANDIDATURE COORDINATEUR.RICE DE STRUCTURE Le GRAPh est une association d’éducation populaire fondée en 1987, et qui pour objet l’organisation d’ac tivités culturelles, artistiques, pédagogiques, de formation, d’insertion sociale, de lutte contre l’exclusion,  de recherche, de création, et de développement des pratiques amateurs – toujours autour de la photo graphie et de l’image en général. Le GRAPh porte depuis six ans le festival Fictions Documentaires, festival  national de la photographie sociale, et accueille chaque année plusieurs résidences d’artistes, expositions  monographiques ou collectives, ateliers d’éducation à l’image… _DESCRIPTION DU POSTE Le poste de coordinateur.rice de structure rejoint, dans les locaux du GRAPh implantés à Carcassonne, une équipe de 4 salariés constituée du  directeur de structure, d’une assistante de gestion administrative, et d’une professeure d’arts plastiques. L’équipe du GRAPh accueille égale ment 2 volontaires en Service Civique par an en moyenne. Sous l’autorité du directeur de structure, le coordinateur / la coordinatrice sera en charge de :  PROJETS CULTURELS  – prépare, planifie, et coordonne les actions de la structure : calendrier, réunions préparatoires, suivi des moyens logistiques et financiers – assure le suivi des échanges avec artistes, partenaires, prestataires, intervenants, régisseurs dans le cadre des actions de la structure – effectue un suivi des actions : fréquentation, résultats qualitatifs, échanges entre collaborateurs… GESTION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE – assure une veille sur les appels à projets de territoire et appels d’offre – assure les recherches et demandes de financement concernant les projets de la structure et son fonctionnement (subventions publiques,  financements privés) : rédige et transmet les dossiers de demande de financement, avec validation préalable du directeur de structure – renseigne les outils de suivi des demandes, attributions et versements de financement annuels – fournit les éléments nécessaires à l’élaboration du plan de financement annuel au directeur et au trésorier de la structure – établit les rapports d’activité (rapports par projet et rapport d’activité annuel global) – rédige et transmet les bilans moraux et financiers des actions, avec l’appui de l’assistante administrative – rédige les contrats, conventions et accords de partenariats (partenaires, prestataires, collectivités, Service Civique, stages en entreprise) – est force de proposition pour l’élaboration et la mise en usage d’outils de gestion administrative globale COMMUNICATION – rédige les communiqués de presse, dossiers de presse et emails d’information à l’attention des médias et partenaires concernant les actions  du GRAPh – met à jour la base de données de l’association : contacts presse, adhérents, participants aux actions, artistes, partenaires, prestataires…  – procède à la rédaction et aux envois d’informations par email concernant les actions du GRAPh – met à jour le site web du GRAPh – centralise et répertorie les images prises lors du déroulement des actions à des fins d’illustration des bilans et d’alimentation du site web,  réseaux sociaux – alimente les réseaux sociaux du GRAPh – réalise certains supports de communication concernant les actions : visuels pour le site web et les réseaux sociaux, affiches, flyers, pro grammes, etc. – assure le suivi de mission de l’attachée de presse, le cas échéant – rassemble la revue de presse des actions de la structure VIE ASSOCIATIVE – met en place une communication à l’attention des adhérents du GRAPh concernant l’activité de la structure et les temps de rencontre : expo sitions, ateliers, bénévolat, événements, temps conviviaux… – participe à la préparation logistique des événements statutaires : assemblées générales, conseils d’administration – assure l’accompagnement des volontaires en mission de Service Civique au sein de la structure – coordonne et gère l’équipe des bénévoles de la structure_CONDITIONS – CDI [2 mois de période d’essai] – Salaire : selon convention collective ECLAT [groupe D] – 35 heures hebdomadaires [disponibilité sur certains weekends et soirées] + déplacements ponctuels + rémunération et/ou récupéra tion des heures supplémentaires _AVANTAGES – Prise en charge de la mutuelle à hauteur de 60% – Environnement de travail décontracté _PROFIL RECHERCHÉ – Expérience précédente sur un poste de coordination ou similaire – Maîtrise des outils bureautiques et notions de mise en page / design graphique  – Connaissance du fonctionnement associatif, des collectivités territoriales, des institutions publiques – Connaissances des dispositifs de financements publics – Maîtrise de l’anglais (oral et écrit) – Permis de conduire – Formation spécifique sur la gestion de projets culturels (serait un atout) – Connaissance et adhésion aux valeurs de l’éducation populaire (serait un atout) – Goût pour la photographie contemporaine et pour l’art en général (serait un atout) _QUALITÉS REQUISES – Autonomie, sens de l’initiative, aisance relationnelle – Ouverture d’esprit, curiosité – Aisance orale et rédactionnelle, capacité de synthèse – Sens de l’organisation, rigueur – Capacité à mener plusieurs projets prioritaires de front COMMENT POSTULER Les candidatures (CV + lettre de motivation, au format PDF) sont à adresser avant le 10 juillet 2023 à Éric  Sinatora, directeur, par email à l’adresse : cmi.graph@gmail.com. Pour toute demande d’information : 04 68 71 65 26 [...] Lire la suite…
WorkshopsLe GRAPh a le plaisir d’accueillir l’artiste Emilie Arfeuil dans le cadre d’un workshop photographique autour du portrait et de l’identité   Ce workshop se tiendra du 26 au 28 juillet 2023au château de Malves-en-Minervois “ C’est notre regard qui enferme souvent les autres dans leurs plus étroites appartenances, et c’est aussi notre regard qui peut les libérer.” – Amin Maalouf En prenant comme point de départ la curiosité parfois maladroite de la première rencontre (« D’où tu viens ? »), cet atelier souhaite enclencher un processus introspectif chez le participant, qui doit rechercher et mettre des mots sur l’histoire de ses origines, sur sa culture, son corps, son essence. C’est ce dosage unique, à la fois précis et indéfinissable qui constitue l’identité, qui sera ici photographié. En mettant en valeur la singularité des identités plurielles, cet atelier vise à sortir des carcans du portrait classique, à aller au-delà d’une identité officielle et des amalgames. À travers une enquête photographique collaborative qui amène à la célébration de l’unicité de chacun, l’atelier invite les participants à porter un regard nouveau sur eux et ceux qui les entourent.  EMILIE ARFEUIL | A PROPOS Le travail d’Emilie Arfeuil interroge principalement les questions d’identité et ses transformations, au travers de l’Histoire individuelle ou collective, de l’appartenance et de la représentation, de l’hybridation et de l’autodétermination. Ses projets puisent dans le réel et la rencontre intime, à travers un processus immersif et sans filtre qui transforme à la fois le projet, ses protagonistes et l’artiste elle-même. Ses œuvres se présentent principalement sous forme de photographies, mais également d’installations multimédias et sonores ou d’objets, dans des expositions immersives. Elle vit et travaille à Montpellier.  https://www.emiliearfeuil.com/  INSCRIPTIONS : CLIQUER ICITARIF : Le tarif de l’inscription à ce workshop s’élève à 500 € TTC par personne pour les trois jours de stage (400€ pour les membres adhérents du GRAPh). Possibilité de paiement en 4 fois.PARTICIPANTS : De 6 à 10 personnes, âgées de plus de 18 ans et autonome en prise de vue.MOYENS TECHNIQUES : Être muni d’un appareil photo et ordinateur avec logiciel de retouche ; apporter des objets/costumes/archives ou références sur ses origines, sa famille, son identité.HORAIRES : du mercredi 26 au vendredi 28 juillet inclus, 9-12h et 14-17hLOCALISATION : Château de Malves-en-Minervois, 11600 MALVES EN MINERVOISL’hébergement et le repas sont à la charge des participants. Possibilité de se loger et de se restaurer sur place et aux alentours de Malves-en-Minervois. Pour tout renseignement, contacter le GRAPh. [...] Lire la suite…
Stage jeunesseDu 10 au 28 juillet, les ados sont invités à prendre part à une semaine de stage mêlant découverte du patrimoine de notre ville et pratique de l’art contemporain. Cette année, le programme allie photographie et arts plastiques autour du patrimoine pictural présent dans le château de Malves-en-Minervois et dans l’hôtel particulier de la Maison des Mémoires de Carcassonne. Durant le stage, les jeunes participants seront accompagnés par une photographe professionnelle, et un artiste plasticien pour créer des scènes contemporaines qui feront écho aux plafonds peints. Les travaux pourront prendre différentes formes plastiques (peinture, collage), et photographique (tableaux mis en scène, qui reprendront les codes de la peinture Renaissance). Ils auront aussi la chance de visiter le château comtal de la citée en compagnie d’une salariée des Monuments Nationaux). Le stage est au tarif de 15€ par jeune et par semaine ; les abonnés d’acticity détenteurs de la carte jeune pourront bénéficier d’un tarif spécial à 1€. Tous les repas et les transports seront pris en charge par le GRAPh.  Pour plus d’informations sur les modalités de ce stage et sur l’inscription, veuillez trouver en pièce jointe le document d’inscription. Tarif réduit avec la carte Acticity ! CLIQUER ICI pour télécharger la fiche d'inscription - à retourner par email ou par voie postale Cliquez ici pour effectuer le règlement sur notre plateforme en ligne INFORMATIONS PRATIQUES TARIF : 15 euros ( avec le pass acti city 1 euro) du Lundi 10 au 28 juillet 2023 à l’Ecole Elementaire Jean Jaurès | 16 bd Jean Jaurès | 11000 CARCASSONNE CONTACT : cmigraph@gmail.com ⌉ 04 68 71 65 26   [...] Lire la suite…
Stage jeunesseDu 10 juillet au 28 juillet, tous les lundis, mardis et mercredis du mois de juillet, le GRAPh vous propose de suivre trois journées d’initiation à la photo et la vidéo pour les jeunes de 12 et 17 ans ! En compagnie d’un artiste vidéaste professionnel, vous explorerez les outils de l’image (caméra, appareil photo, prise de son,…) et travaillerez ensemble à l’écriture d’un scénario, la réalisation d’un storyboard, le montage,… pour créer de toutes pièces une petite oeuvre multimédia au format court ! Pour plus d’informations sur les modalités de ce stage et sur l’inscription, veuillez trouver en pièce jointe le document d’inscription.  CLIQUER ICI pour télécharger la fiche d'inscription - à retourner par email ou par voie postale INFORMATIONS PRATIQUES TARIF : Gratuit du Lundi 10 au 28 juillet 2023 à l’école Elementaire de Jean Jaurès,16 bd Jean Jaurès, Carcassonne 11000 CONTACT : cmigraph@gmail.com ⌉ 04 68 71 65 26 [...] Lire la suite…
ExpositionCarolle Benitah, présente un ensemble de photographie retraçant les liens familiaux à travers le temps « Dans l’exposition « Un amour de Famille » que je présente à L’Essar(t)s à Bram, il est question d’histoires de famille et plus particulièrement de la relation mère-enfant.J’ai mêlé différentes séries réalisées durant ces vingt dernières années afin de parler de la relation mère-enfant. À des photos de moi enfant avec ma mère, photos que je transforme à l’aide de la broderie dans la série « Photos Souvenirs », je confronte des images avec mon enfant où je suis la figure maternelle. Mes travaux d’aiguilles qui rappellent les conflits, le drame, la douleur, convoquent la matière noire de l’histoire familiale, absente justement de ces photographies-là.Dans la série « Just the two of us » qui est un travail sur le temps, j’enregistre deux fois par an, à l’occasion de nos anniversaires respectifs, un portrait de famille de mon fils et moi-même, côté à côte, qui rend compte du temps qui passe et de notre relation mère-fils.La série « Fantômes » représente des vêtements d’enfants que nous avons porté mon fils et moi-même et que j’accroche face à face afin de mettre la mère et l’enfant sur le même plan dans la courbe du temps. Les vêtements sont comme des mues de ce qui reste et qui n’existe plus.Je parle également de la figure de l’enfance en présentant aussi bien des images anonymes que je collectionne dans la série « Jamais je ne t’oublierai » que des images de mon enfant que j’ai beaucoup photographié durant ses douze ans dans « Twelve » avec un film polaroid entrain de disparaitre. J’essaie de capturer ce passage de l’enfance à l’adolescence, lafragilité de cette période délicate et brève. »Carolle Bénitah CAROLLE BENITAH | A PROPOS Carolle Benitah a commencé à pratiquer la photographie au début des années 2000 suite à des remises en cause personnelles très fortes. La dimension fragile de la vie s’est imposée à elle et la photographie a fonctionné comme une béquille existentielle. Face à une réalité difficile à appréhender- comme la maladie dans la série « Autoportrait au rideau rouge » (2002), ou encore dans la série « Un parterre de roses » (2001-2008), la photographie a agi comme un nouvel organe de sens.D’emblée, elle place sa pratique dans le champ de l’intime. Aujourd’hui, son travail débouche sur des sujets plus ouverts comme la famille, le désir, la perte, le deuil et l’enfermement et touchent à l’universel.Site web : https://www.carolle-benitah.com/ INFORMATIONS PRATIQUES Les ESSARTS – Avenue George Clémenceau, parc des Essars | BRAM 11150Du 24 juin au 17 septembre 2023Du mardi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h.Tarifs :adultes : 4€enfants de 6 à 15 ans : 1€ groupes (+ de 10 personnes), étudiants, séniors, demandeurs d’emploi : 2€ :gratuit pour les bramaisVernissage le vendredi 23 juin à 18h.Contact : 04 68 71 65 26 | cmi.graph@gmail.com [...] Lire la suite…
ExpositionMarie Mons présente un face à face entre Aurore Colbert, Fictions Documentaires réalisée en Islande et Un sourire de case-pilote un travail sur l’identité et la mémoire. Aurore ColbertMarie Mons a passé trois mois d’hiver dans un petit village des fjords de l’est de Islande où elle est devenue Aurore Colbert. Parlant de l’hiver et ses nuits polaires, du rythme qu’il induit au travers d’un grand rituel chamanique, elle incarne son personnage en laissant toujours la part belle à la surprise. À la manière d’un monodrame, les habitants de Seyðisfjörður sont devenus les acteurs de ce théâtre d’expérimentation, traduisant ainsi ses projections mentales, inventées ou réelles.Un sourire de case-pilote Comme un retour à la source de l’identité, ce travail prend racine en Martinique, l’île natale de mon défunt grand-père. Personnage à l’histoire personnelle et familiale complexe, que j’ai rarement eu l’occasion de rencontrer. Cette quête intervient au moment où je fais l’expérience de la maternité. En partant d’une histoire individuelle, celle de ma famille, j’ai rencontré la culture créole. Son identité a été marquée par les fondements traumatiques de la société coloniale, mais aussi réunie par le métissage, revendiqué aux Antilles comme identité culturelle.Majoritairement composé d’images encrées dans la réalité du temps présent, ce travail est complété par des photos et documents d’archives apportant des preuves tangibles dans cette quête de vérité. La combinaison de ces procédés permettent de mettre en lumière l’ambiguïté de la notion de vérité, par nature changeante et impossible à définir de manière absolue, comme la persistance d’un mystère. MARIE MONS | A PROPOS Marie Mons est une artiste pratiquant les arts visuels avec comme médium principal la photographie. Née en 1984, elle vit et travaille à Paris. À la croisée des chemins, paysages géographiques et contrées personnelles viennent raisonner dans l’ensemble de son travail pluridisciplinaire. De l’exil insulaire de l’Islande à la Martinique, Marie Mons nous amène à interroger nos identités. Cristallisant des notions de repli sur soi, d’enfermement, mais aussi d’évasion, elle nous invite avec Aurore Colbert et Un sourire de Case-Pilote à la découverte de ces îles entre introspection et exploration du monde. En poursuivant ses résidences en France et à l’étranger, Marie Mons explore par tous les moyens qui s’offrent à elle son univers intérieur mais aussi le monde qui l’entoure et invente un langage onirique pour nous le raconter. Lauréate de la résidence Création en Cours 2020-2021 des Ateliers Médicis, elle a développé en Martinique, en parallèle de son travail d’auteur, un projet d’échange et de transmission avec des scolaires autour de portraits photographiques afin de donner la parole aux jeunes créoles sur leur identité propre. Son travail est régulièrement exposé dans des galeries, centres d’art et festivals en France et à l’étranger.Site web : https://mariemons.fr· INFORMATIONS PRATIQUES Maison des mémoires 1er étage –  53 rue de Verdun | CARCASSONNEDu 05 mai au 17 juin 2023Du mardi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h.Entrée libre et gratuiteVernissage le vendredi 05 mai à 18h.Contact : 04 68 71 65 26 | cmi.graph@gmail.com   [...] Lire la suite…
Stage jeunesseNous avons le plaisir d’annoncer qu’un stage d’arts plastiques est organisé par le GRAPh CMI durant les prochaines vacances. Du mardi 02 mai au vendredi 05 mai 2023, tous les après-midis, les jeunes âgés de 10 à 15 ans sont invités à venir créer leur bande-dessinée, depuis l’invention de leurs personnages jusqu’à la mise en page d’un scénario ! AU PROGRAMME : – aborder les bases du volume, à l’aide du modelage– créer ses personnages et apprendre à les dessiner en mouvement– imaginer un scénario et apprendre à le mettre en page selon les techniques de la bande dessinée– réaliser une BD de A à Z ! Le stage sera animé par Christophe Eppe, plasticien, au château de Malves-en-Minervois, du lundi au jeudi de 13h30 à 17h30.Le tarif est fixé à 100€ par participant (possibilité de régler l’inscription par chèque, par voie postale, sur notre plateforme ou en main propre dans les bureaux du GRAPh).Le nombre de places est limité à 10 personnes, et le stage ne pourra se tenir que si le nombre d’inscrits dépasse les huit participants.   CLIQUER ICI pour télécharger la fiche d'inscription - à retourner par email ou par voie postale Cliquez ici pour effectuer le règlement sur notre plateforme en ligne MODALITÉS PRATIQUESTarif = 100 € par participant  / Possibilité de régler par chèque ou en espècesdu MARDI 02/05 au VENDREDI 05/05, de 13h30 à 17h30au Château de Malves en Minervois (avenue du Château, 11600 MALVES EN MINERVOIS)CONTACT : cmi.graph@gmail.com / 04 68 71 65 26 [...] Lire la suite…
Festivaltélécharger le dossier complet [...] Lire la suite…
Page Festival« Il faut beaucoup d’artifice pour faire passer une parcelle de vérité. »Robert Antelme, L’espèce humaine La programmation de cette année 2022 est majoritairement féminine, elle couvre de nombreux champs idéologiques événementiels qui traversent nos sociétés. Les post-productions mises en œuvre débordent la seule photographie pour passer de la carte postale des ruines de guerre revisitées à l’installation plasticienne Wonder Beirut jusqu’au cinéma 35 mm avec le couple d’artistes libanais Joanna Hadjithomas et Khalil Joreige. Ce corpus rénove l’image des guerres récentes qui ont touché le Liban. Les inquiétudes écologiques de la jeune génération sont scénarisées par l’artiste estonienne Annika Haas avec The Greenhouse Effect. Tiphaine Populu de La Forge accentue cette éco-anxiété sur l’avenir de notre planète avec Solastalgia mêlant des ruines domestiques et et des vues de l’Agence Spatiale Européenne. Les mythologies personnelles sont mises en fiction par l’artiste d’origine marocaine Ymane Fhakir qui utilise la vidéo en complément de la photo pour montrer l’espace intime au féminin où elle tente de préserver l’héritage dans La part du lion. Stéphanie Nelson donne de la jeunesse sénégalaise une image performative dans Personne n’éclaire la nuit, des diptyques d’un gris sombre y opposent l’individu et le groupe. Marianne & Katarzyna Wasowska, deux cousines polonaises, présentent des constellations d’images En attendant la neige qui mêlent des documents historiques, anthropologiques, cartes, images d’archives personnelles et leurs propres prises de vue pour témoigner de l’aventure coloniale méconnue qui a vu la migration polonaise au Brésil et en Argentine.Cette diversité de propositions et de mises en œuvres révèle encore une fois combien les fictions documentaires voient des artistes de différentes origines et de différentes générations s’attacher à traduire des préoccupations contemporaines inscrites dans des communautés ou partagées de façon plus universelle.Christian Gattinoni, conseiller artistique VISIONNER LE DOSSIER DE PRESSE JOANA HADJITHOMAS, KHALIL JOREIGE /// KHIAM, WONDER BEIRUTJoana Hadjithomas et Khalil Joreige ont une longue histoire de collaboration, que le GRAPh a l’honneur de mettre en lumière à l’occasion d’une exposition protéiforme pour la sixième édition du festival Fictions Documentaires. Avec la présentation de Objects of Khiam, la présentation de cartes postales représentant un Beirut fragmenté mises à la disposition des visiteurs (Wonder Beirut) et la projection du film Khiam, l’oeuvre de Khalil et Joana ouvrira le champ des perceptions et des possibles pour le public. Un parcours à la fois artistique, photographique, cinématographique, participatif, qui invite le spectateur à vivre une expérience hors du commun entre fiction et réalité.GALERIE ACTI CITY, 82 rue de Verdun / du mardi au dimanche, 10h > 12h et 14h > 18h BIOGRAPHIE :Cinéastes et artistes, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige interrogent la fabrication des images et des représentations, la construction des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Leurs œuvres créent des liens thématiques et formels entre la photographie, la vidéo, la performance, l’installation, la sculpture et le cinéma, qu’il s’agisse de films documentaires ou de fiction. Ils ont été récompensés dans les plus grands festivals internationaux de cinéma au cours des années et ont reçu le prestigieux prix Marcel Duchamp en 2017 pour leur projet artistique Unconformities. Leurs recherches à long terme sont basées sur des documents personnels ou politiques, les traces de l’invisible et de l’absent, les histoires gardées secrètes et les souterrains archéologiques des villes. Hadjithomas et Joreige sont tous deux nés à Beyrouth, au Liban, en 1969 et vivent et travaillent actuellement entre Beyrouth et Paris.SITE WEB : http://hadjithomasjoreige.com STÉPHANIE NELSON /// PERSONNE N’ÉCLAIRE LA NUITQuatre semaines de vives discussions animent la rencontre de Stéphanie Nelson avec la jeunesse de Kédougou, l’avenir du pays. Les témoignages enchaînent rêves et désillusions : le sentiment de vivre sur un territoire isolé, voire oublié ; le choix de respecter ou de s’émanciper de la religion et des traditions ; l’espoir de suivre des études et de s’ouvrir au monde ; le constat de la précarité des habitants, alors que des sociétés multinationales exploitent les richesses aurifères des sous-sols ; la résignation à émigrer, conscient de l’improbable retour. En réaction à l’expérience vécue à Kédougou, Stéphanie Nelson abandonne ses premières intentions artistiques. Délaissant les denses couleurs des scènes photographiées, elle nuance d’un gris de plomb profond les portraits des modèles mués en personnages fantomatiques. Les paysages perdent leurs teintes d’ocre rouge et projettent des couleurs irréelles et sourdes. L’absence de descriptions – chaque photographie demeure « sans titre » – parachève d’exprimer le doute ressenti par l’artiste : chargés de nos représentations, sommes-nous dans l’incapacité et dans le refus de voir l’autre ?ARCHIVES DÉPARTEMENTALES DE L’AUDE / du lundi au vendredi, 9h > 17h BIOGRAPHIE :Stéphanie Nelson est née en 1966 à Dijon. Elle vit à Grenoble où elle a travaillé pendant vingt ans pour le spectacle vivant. En 2008, elle décide de se consacrer à la photographie et se forme à l’Atelier Magenta à Villeurbanne, auprès de Dominique Sudre. Ses premières séries fouilleront le caractère mnésique du médium, notamment avec « Anders, le chemin du Nord » en 2014. Rite initiatique sur les terres norvégiennes de ses aïeux, elle amorçe la construction de son écriture photographique. Aujourd’hui son travail documentaire explore, comme une allégorie de l’expérience humaine, la relation entre apparence et identité, illusion et croyance, théâtre et réalité.SITE WEB : https://stephanienelson.fr/ YMANE FAKHIR /// THE LION'S SHARE Le projet d’Ymane Fakhir The lion’s share combine sculptures, vidéo, photographie et texte pour raconter l’histoire d’une famille musulmane endeuillée fictive et sa part d’héritage. Une leçon d’algèbre dans laquelle l’artiste marocaine interroge la place de la femme dans la famille musulmane – et au-delà. The lion’s share est l’une des premières histoires d’héritage musulman à être aussi vraie et illustrée. Cette narration esthétique racontée par Ymane Fakhir fonctionne comme une projection dans laquelle chacun a la possibilité d’imaginer sa propre distribution. Il s’agit d’une leçon d’algèbre au cours de laquelle la fameuse règle « une part pour une femme égale deux parts pour un homme » résonne ad in nitum, prenant la forme d’un récit mathématique entre huit personnages (mari, femme, père, mère, frère, sœur, fils, fille) considérés comme de purs objets mathématiques.MAISON DES MÉMOIRES, 53 rue de Verdun / du mardi au samedi, 10h > 13h et 14h > 18h BIOGRAPHIENée en 1969, vit et travaille à Marseille. Ymane Fakhir développe un travail artistique où la photographie et la vidéo tiennent une place essentielle. Elle a suivi sa première formation à l’Ecole des Beaux-Arts de Casablanca, ville dont elle est originaire. Lorsqu’elle s’installe en France, elle reprend un cursus à l’Ecole des Beaux-Arts d’Aix-en-Provence, puis à l’Ecole nationale de la photographie d’Arles dans le cadre d’un échange. Vivant aujourd’hui à Marseille, elle nourrit son oeuvre de nombreux allers et retours entre la France et le Maroc, créant ainsi une relation dialectique, physique et intellectuelle, entre son héritage culturel et ses expériences personnelles.SITE WEB : https://www.cnap.fr/ymane-fakhir MARIANNE ET KATARZYNA WASOWSKA /// EN ATTENDANT LA NEIGE Ce projet s’ancre dans notre histoire, dont la géographie affective, comme celle de beaucoup de familles polonaises, est marquée par la migration. Divisées entre la France et la Pologne, nous, deux cousines, sommes devenues photographes parallèlement. Nous avons commencé à travailler ensemble de façon naturelle, comme une façon de rétablir le fil d’une conversation interrompue par les frontières, les langues, le temps. “En attendant la neige” est un projet sur la migration polonaise en Amérique du Sud, centré tout particulière­ment sur le Brésil et l’Argentine, qui furent les principaux points de destination. Il est né de la volonté de mettre en lumière un aspect méconnu de la colonisation des Amériques: en Europe Centrale, la conquête de ces nouvelles terres fit l’objet de véritables campagnes publicitaires qui ventaient “l’aventure coloniale” comme moyen d’ascension sociale, s’adressant ainsi aux populations les plus dépour­vues, paysans et ouvriers délestés par les guerres successives. Le but réel de ces invitations était de recruter des travailleurs capables de construire le rêve moderne de ces sociétés en pleine expansion industrielle. Ces travailleurs devaient étaient blancs, “civilisés”, opposés de facto aux populations autochtones. Leurs descendants racontent que, lorsqu’ils arrivèrent sur place, ils se mirent à travailler d’arrache pied pour préparer l’hiver, sans savoir qu’il n’arriverait jamais. Notre problématique centrale touche aux dynamiques identitaires qui traversent ces communautés, prin­cipalement paysannes, sur ces nouvelles terres. La brutalité du contraste entre leur lieu d’origine, d’un froid extrême, et la jungle subtropicale où elles vinrent s’établirent, nous semble idéal pour mettre en évidence l’idée de l’identité comme construction. Un processus qui, après de multiples hybridations et fragmentations historiques, s’approche de plus en plus de la fiction.CHAPELLE DES DOMINICAINES, 17 rue de Verdun / du mardi au dimanche, 10h > 12h et 14h > 18h [jusqu’au 10 décembre 2022] BIOGRAPHIE :Katarzyna Wąsowska (née à Gdańsk en 1990) est diplômée en photographie de l’école des Beaux Arts de Poznań. Marianne Wasowska (née en 1988 à Paris) est photographe et artiste visuelle. Elle est diplômée de l’université de Nanterre (Paris X) en anthropologie et de l’ENSP d’Arles. Leur premier projet en duo, « En attendant la neige », a été sélectionné par le Fotofestiwal de Lodz (Open Call 2020),Encontros da Imagem (Discovery Awards 2020), Athens Fotofestival (2020), PhotoEspaña (Convocatoria Hacer, 2020), Boutographies Festival (2021) et Odesa Photo Days (2021). Il a également été shortlisté par Landskrona Foto Festival 2020, et a reçu la mention honorable pour le Woman photography grant 2019 du PHmuseum. Le Muzeum Emigracji de Gdynia, Pologne, lui consacre en 2021 sa première exposition personnelle.SITE WEB : https://www.katarzynawasowska.com/ TIPHAINE POPULU DE LA FORGE /// SOLASTALGIA Solastalgie : n.f néologisme construit sur l’anglais solace dérivé du latin solacium signifiant « consolation, réconfort » et algie, suffixe emprunté à nostalgie et traduit par « douleur » en français. Concept forgé en 2003 par Glenn Albrecht pour décrire le sentiment de profonde détresse que nous pouvons ressentir face au spectacle imposé de la dégradation de la nature.Notre système se fissure. Son architecture est sur le point de rompre. De COP en rapports du GIEC, les scientifiques alertent sur l’état global de notre planète, le dérèglement climatique, la chute de la biodiversité, la dégradation des sols et l’épuisement des ressources. Pourtant, ces questions fondamentales ne sont toujours pas la préoccupation principale de nos dirigeants. Or, sans volonté politique, les solutions proposées par les experts internationaux ne peuvent être mises en œuvre. Devant la destruction de notre environnement, nos réactions sont plurielles ; détresse, colère, tristesse, déni. La santé de notre planète impacte notre santé mentale, et inversement. Les obstacles qui nous séparent d’une réelle prise en main de notre avenir paraissent des murs infranchissables et pourtant, ils sont fissiles.Solastalgia est née du rapprochement de deux échelles de perception. J’ai photographié la projection de mes propres angoisses environnementales sur des murs délabrés qui pourraient être ceux de nos maisons. Ces murs rejouent dans l’espace domestique le paradigme de la terre malade, polluée ou artificialisée, brûlée ou inondée et matérialisent la complexité de notre rapport aux enjeux environnementaux. À ces « visions », j’adosse des vues de la surface du globe, détails d’images satellites des Sentinels de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) alimentant Copernicus, le programme de l’UE pour l’observation et la surveillance de la Terre. En posant mon regard sur la ruine, j’explore nos affects autant que les paysages qui nous entourent. J’essaie de comprendre nos limites en rapprochant le bout du monde pour montrer que la Terre n’est pas infinie, que là-bas, c’est aussi chez nous.MAISON DES MÉMOIRES, 53 rue de Verdun / du mardi au samedi, 10h > 13h et 14h > 18h BIOGRAPHIENée en 1987, Tiphaine Populu de La Forge vit et travaille à Tours. Diplômée d’un double cursus en Histoire de l’art et Lettres modernes (2010) elle a enseigné la littérature française avant de se consacrer à la photographie. Influencée par la peinture, la littérature et le cinéma, sa sensibilité nourrit son approche plasticienne. Synesthète, son audition colorée conditionne son rapport à la couleur et régit ses compositions. Travaillant principalement en argentique, elle choisit les procédés photographiques utilisés en fonction des sujets abordés (collodion humide, palladium, argentique couleur). Curieuse des mécanismes psycho-cognitifs à l’œuvre face à des situations de crises, son approche poétique et scénographiée du réel lui permet de raconter le monde sans heurter, pour tenter de le rendre plus habitable. Ses photographies sont régulièrement exposées en France depuis 2017. SITE WEB : https://www.tiphainepopuludelaforge.com/ ANNIKA HAAS /// THE GREENHOUSE EFFECT Le projet artistique d’Annika Haas Greenhouse Effect est basé sur une recherche photographique au long cours et représente la jeune génération estonienne, qui doit surmonter des problématiques dues à la surconsommation, le gaspillage et l’exploitation agressive des ressources naturelles. Les jeunes qui participent à ce projet sont très inquiets pour le futur de la planète Terre : ils veulent montrer à la précédente génération que le mode de vie actuel, basé sur la consommation excessive et la croissance économique sans fin, n’est pas viable. Pendant quatre ans, Annika Haas prend des photographies avec de jeunes estoniens âgés de 12 à 21 ans, et elle a mené des interviews avec eux par rapport aux problématiques environnementales pour en apprendre plus sur leurs point de vue et les sensibiliser à la consommation, la conservation de la nature et comment minimiser l’empreinte écologique grâce à leurs contributions personnelles. Les images d’Annika Haas représentent la banlieue de la capitale estonienne, Tallinn. Ce décor était autrefois des parcelles de jardin, mais les serres en ruine créent une atmosphère apocalyptique.MAISON DE LA RÉGION, 5 rue Aimé Ramond / du lundi au vendredi, 8h30 > 12h et 13h30 > 17h BIOGRAPHIE :Annika Haas, photographe documentaire née en 1974, vit et travaille en Estonie. Elle a étudié les langues fino-ugriques à l’université de Tartu et a suivi en parallèle un cursus de photojournalisme au Tartu Art College. Elle a également suivi plusieurs formations photographiques à Londres, en 2003 et 2012. Depuis 2015, elle est l’éditrice photographie documentaire et portrait pour la revue photographie estonienne Positiiv. Depuis 2018, elle donne des conférences sur la photographie documentaire à l’Académie des Arts d’Estonie et a débuté des missions de commissariat d’expositions photographiques au Musée Estonien de la Photographie en 2020. Annika Haas est exposée reconnue en Estonie comme à l’étranger, et a été finaliste et lauréate de nombreux prix locaux comme internationaux : Taylor Weesing Photographic Portrait Prize ; Kuala Lumpur International Photoawards ; Grand Prize in Estonian Press Photo…SITE WEB : https://www.annikahaas.com/ LINE SAGNES /// PRIX PHOTOGRAPHIQUE DES MOINS DE VINGT ANS En 2021, le GRAPh, avec le partenariat d’acti city (station jeunesse de Carcassonne), a décidé de lancer un prix photographique destiné aux jeunes de moins de vingt ans dans le cadre du festival Fictions Documentaires. L’appel à candidature s’adresse à tout jeune âgé de 13 à 20 ans et résidant en Région Occitanie. Les jeunes sont invités à faire parvenir au GRAPh un projet rédigé, accompagné de quelques photos personnelles qui montrent leur univers iconographique. Cet appel à projet est destiné à être diffusé largement sur le territoire régional, en collaboration notamment avec les établissements d’enseignement photographique (bac professionnels, ETPA, école d’Arles, etc…) Sur la base du projet, un jury de professionnels statue pour identifier un.e lauréat.e. Cette personne est ensuite accompagnée pendant plusieurs mois dans le développement et la mise en images du projet retenu, de la conception jusqu’au tirage des images. Ce projet est développé dans le genre de la fiction documentaire, avec un travail de pédagogie de la part de l’équipe du GRAPh pour transmettre cette notion au jeune lauréat. L’exposition intègre pleinement la programmation du festival et reste à l’issue du festival la propriété du jeune lauréat. Une dotation en livres photographiques, ainsi que la carte acti city, viennent compléter ce prix. Nous souhaitons mettre l’accent sur le fait que ce prix vient accompagner un projet qui n’est pas encore réalisé, mais bien un projet en cours de conception, qui est ensuite soutenu et enrichi par l’expertise des professionnels du GRAPh.GALERIE ACTI CITY, 82 rue de Verdun / du mardi au dimanche, 10h > 12h et 14h > 18h En 2022, c’est Line Sagnes, âgée de seize ans et étudiante du bac pro photographie de Carcassonne (lycée Saint-François) qui a obtenu le prix photographique des moins de vingt ans, avec un projet artistique tourné vers la thématique du cyberharcèlement. En adoptant les codes de la métaphore et de la photographie de studio, Line propose une approche sensible et délicate d’un sujet grave, et qui préoccupe une génération de jeunes souvent dépendants des communications en ligne. [...] Lire la suite…
2022Après 10 ans passés à la Maison des Associations, le GRAPh déménage pour rejoindre la Maison des Mémoires, 53 Rue de Verdun !À partir du 15 septembre, vous pourrez nous retrouver au quatrième étage de ce magnifique hôtel particulier.À compter du lundi 5 septembre, nous aurons besoin de bonnes volontés, de gros bras, de petites mains et de cerveaux Tetris pour effectuer rapidement et dans les meilleures conditions notre transhumance du 89 au 53 rue de Verdun.  N’hésitez pas à remplir le formulaire ci-dessous si vous souhaitez nous aider, nous vous recontacterons à partir du 1er septembre pour organiser votre participation. Nous aider Pour nous aider dans notre quête, les petites mains et les gros bras disponibles du 5 au 9 septembre peuvent remplir ce formulaire de disponibilité en indiquant leurs coordonnées et journées ou demi-journées de disponibilité. Noms* Ville* Email* Téléphone* Vos disponibilités (plusieurs choix possibles) : Lundi 5 septembre : MatinLundi 5 septembre : Après midiMardi 6 septembre : MatinMardi 6 septembre : Après midi Mercredi 7 septembre : MatinMercredi 7 septembre : Après midiJeudi 8 septembre : MatinJeudi 8 septembre : Après midiVendredi 9 septembre : MatinVendredi 9 septembre : Après midi Commentaire : EnvoyerReset En attendant, prenez des forces, passez de bonnes vacances ! Nos bureaux seront fermés pour les vacances d’été du 30 juillet inclus au 1er septembre et rouvriront au public, dans nos nouveaux locaux, le 12 septembre à 10 heures. Toute l’équipe du GRAPh vous souhaite de très bonnes vacances et vous dit à la rentrée !  CONTACTS : 🔗 cmi.graph@gmail.com📞 04 68 71 65 26 [...] Lire la suite…
2022Toute l’équipe du GRAPh tient à remercier la Mairie de Malves pour sa confiance et son soutien, le Ministère de la Culture (dispositif été culturel 2022), le département de l’Aude, Carcassonne Agglo, la Ville de Carcassonne et le Réseau Diagonal. Nous tenons également à remercier chaleureusement pour leur participation active la Compagnie Frères Locomotives, les Amis de la Fabrique, les Amis de Tallin, JONCTION, les Amis du Monde diplomatique, le Festival International du Film Politique, Les Nuits Photo, ainsi que les domaines Villepeyroux Forest et de Parazols-Bertrou pour leurs dégustations.Autour de la thématique « Photographier le travail », cette première université d’été a connu un beau succès avec une cinquantaine de participants venus de toute la France pour suivre les interventions de Christian Gattinoni (la représentation du travail à travers l’histoire de la photographie), la table ronde animée par les Amis du Monde diplomatique en la présence de Christian Bellavia, photographe, Olivier Cyran, journaliste, Michel Mas, sociologue du travail et Bernard Dauphiné, médiateur et la présentation du travail de Gilberto Güiza-Rojas, artiste photographe, avec les salariés de la SCOP La Fabrique du Sud, mené dans le cadre du dispositif Entre les Images (Réseau Diagonal).  Cette première université d’été s’est clôturée par la projection de 10 courts-métrages proposés par Alex Liebert et Emilie Arfeuil, pour le festival Les Nuits Photo, festival du film photographique.  L’équipe du GRAPh travaille déjà à la prochaine édition de cette université d’été, rendez-vous est pris en juillet 2023, au château de Malves en Minervois. Le GRAPh organise pour la première fois un événement estival autour de la photographie sociale dans le parc du Château de Malves-en-Minervois. Cette université d’été est pensée comme un moment de rencontre autour de la photographie sociale et comme un moment de découverte. Exposition photographique sous les arbres, projections cinématographiques en plein air, conférences, tables-rondes, dégustations… Un temps fort de la saison culturelle dans l’Aude !→ Cette manifestation est organisée avec le soutien du Ministère de la Culture, du Département de l’Aude, de Carcassonne Agglo, de la Municipalité de Malves-en-Minervois. du réseau Diagonal, et de nos partenaires associatifs et culturels. MERCREDI 20 JUILLET→ 22h : ciné-concert GRASS / Jean-Marc Parayre. GRASS est un documentaire muet réalisé en 1923, qui nous emmène à la découverte de la migration de la tribu des Bakhitar, que la sécheresse menace de mort. Le film nous entraîne dans un incroyable périple à travers fleuves impétueux, montagnes abruptes et immensités enneigées des Monts Taurus. Le combat d’une nation pour la vie. Jean-Marc Parayre s’accompagne d’une kyrielle d’instruments de musique (vielle à roue, bouzouki, boudègue…) qui, mêlés aux sons d’éléments naturels, créent une ambiance ethnique moderne. → [Tous publics – Entrée libre – 1h environ] Ciné-concert GRASS / Jean-Marc Parayre / Mercredi 20 juillet à 22h JEUDI 21 JUILLET→ 22h : projection en plein air GOODBYE SOVIET UNION / Lauri Randla (entrée libre) – carte blanche au Festival International du Film Politique / présentation par les Amis de TallinnJohannes est né dans une famille excentrique en République soviétique d’Estonie. Lorsque sa mère part pour la Finlande et qu’il est élevé par ses grands-parents, le vif Johannes est obligé de faire face seul à la vie. Il tombe profondément amoureux de sa camarade de classe, Vera, prend des risques, se bat et se fait punir… Pendant tout ce temps, en arrière-plan, l’Empire du Mal s’effondre. Alors que les Lénine tombent et que les poupées Barbie prennent le relais, le crocodile Genas et les Moskvitch sont contraints de se retirer, laissant la route vers l’Ouest grande ouverte ! → [Tous publics – Entrée libre – 1h26] GOODBYE SOVIET UNION / Lauri Randla / Jeudi 21 juillet à 22h VENDREDI 22 JUILLETJournée d’étude : « photographier le travail »→ 14h : présentation de la journée d’étude et panorama de la photographie du travail dans l’art contemporain / Christian Gattinoni→ 15h : table-ronde animée par les Amis du Monde Diplomatique→ 16h30 : « Révéler le travail » : Gilberto Güiza-Rojas, photographe contemporain et présentation du projet « La Belle Aude » mené dans le cadre du programme Entre les images→ 18h : inauguration de l’exposition La Belle Aude dans le parc du château de Malves→ 19h30 : apéritif dînatoire VENDREDI 22 JUILLET / Journée d’étude : “photographier le travail”Pour participer à cette journée d'étude, veuillez réserver gratuitement via le formulaire ci-dessous. Nom et prénom* Email* N° de téléphone*ValiderReset VENDREDI 22 JUILLET → 22h : projection de films photographiques / LES NUITS PHOTOSLes Nuits Photo est un tout jeune festival dédié à un nouveau genre : le film photographique. Alex Liebert, réalisatrice de documentaires et directrice du festival, présente une sélection de onze films photographiques dans lesquels on parle du travail quotidien et répétitif de bureau, de patrimoine, d’artisan et d’apprenti, de travail associatif ou bénévole aussi, on voyage aux Etats-Unis et au Cambodge, on sauve des animaux et des humains, on parle des métiers « invisibles » et des problèmes de société… Programme foisonnant ! → [Tous publics – Entrée libre – 1h environ] LES NUITS PHOTOS / Projection vendredi 22 juillet à 22h → Informations pratiques  :Château de malves, Avenue du château,11600 MALVES EN MINERVOIS→ CONTACT :cmi.graph@gmail.com + 04 68 71 65 26 [...] Lire la suite…
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Publié le
Marie-Luce Dehondt

Expo 15-05/21-06 | Disappearance | Mouna Saboni

15 mai – 21 juin 2025vernissage 3 juin à 18h30 Maison des Mémoires53 rue de Verdun – CarcassonneMardi-Samedi 10h-13h | 14h-18h Une co-production GRAPh-Carcassonne et Carré d’Art-Chartres de Bretagne (membres du réseau Diagonal) avec le soutien du Ministère de la Culture (dispositif « Mieux produire, mieux diffuser ») et avec le soutien de la Fondation…

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6-8/06 – Stage Portrait | Frédéric Stucin

6-7-8 juin 2025 Graph53 rue de Verdun – Carcassonne Une approche sensible du portrait Le Graph propose un stage avec le photographe Fredéric Stucin sur une approche sensible du portrait. La réalisation d’un portrait est soumise à de multiples contraintes. Le modèle, le lieu, la lumière, sont des éléments qui vont guider la prise de…

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Expo 5-03/11-04 • Le Bal | Eric Sinatora

5 mars/11 avril 2025 Toulouse – CHU Rangueil Le Bal – exposition photographique Depuis le Moyen Âge, les bals rythment la vie sociale, évoluant au fil des siècles de cérémonies codifiées à des événements festifs. Aujourd’hui encore, ils demeurent des espaces de rencontre et de partage, porteurs d’une mémoire collective et ancrés dans l’identité culturelle…

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Expo 14-03/29-03 • Tango | Marie Hivernaud

14/29 mars 2025vernissage le 14 mars à 18h30 Alairac – Espace des Arts et RencontresExposition visible sur le temps des concerts et des stages du Printemps des notes Tango – exposition photographique Au tout début de chaque été, les rues de Toulouse résonnent au son des musiques du tango. Les bals, les milongas, les concerts…

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Expo 26-03/31-05 • Entre deux vagues | Zoé Guibal

26-03/31-05 2025 mars Carcassonne – Le Bis-Troquet (22 rue Chartrand)fermé le lundi Entre deux vagues Quand l’été s’efface, la plage s’engage dans un moment suspendu entre deux temps, entre deux saisons. Les rires s’éloignent avec le vent, les empreintes disparaissent et les vagues absorbent les derniers cris d’enfants. Cette série photographique capte cet instant de…

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Expo 17-03/23-03 • La Primavera de l’image 2025 | collectif

17/23 mars Carcassonnevernissage le 19 mars à 18h30 Chapelle des Dominicaines (17 rue de Verdun)du mardi au samedi 11h-18h • dimanche 11h-16hENTRÉE LIBRE ET GRATUITE Exposition collective des photographes de l’atelier Recherche et création Organisée par le Graph, cette exposition collective met en lumière la création photographique au sein des ateliers « Création et Recherche…

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Le GRAPh organise un événement estival autour de la photographie sociale dans le parc du Château de Malves-en-Minervois. Cette université d’été est pensée comme un moment de rencontre, d’échange et de réflexion autour de l’évolution de la photographie sociale et comme un moment de découverte. Conférences, tables-rondes, projections, expositions photographiques.

ÉCHANGER des idées, PARTICIPER aux débats, ASSISTER à des conférences, RENCONTRER des photographes, DÉCOUVRIR les expositions du circuit photographique en minervois, PARTAGER lors des projections en plein air … Un temps fort de la saison culturelle dans l’Aude !…

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Two stories of (Hi)stories

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE PRÉSENTÉE PAR LE GRAPh-CMI ET LES ARCHIVES DEPARTEMENTALES DE L’AUDE Lebohang Kganye fait référence à l’essai de Christraud Geary intitulé « On the Savannah : Marie Pauline Thorbecke » publié dans l’Art Journal en 1990 et intitulé « Depictions of the Dispossessed » (représentations des dépossédés). Elle n’est pas intéressée par le fait de centrer les protagonistes…

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Les Interstices

Le GRAPh a le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition « Les Interstices » de Frédéric Stucin, le VENDREDI 17 MAI 2024 A 18H Rendez-vous à la Maison des Mémoires, 53 rue de Verdun à Carcassonne. L’exposition sera visible du 07 mai au 15 juin 2024. Ouvert au public du mardi au samedi, de 10h…

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Les Essarts – « Hylé » et « Ce qu’il en reste »

Le GRAPh a le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition « Hylé » d’Emilie Arfeuil Photographe et « Ce qu’il en reste » de Viviane Dalles, le VENDREDI 19 AVRIL 2024 A 18H30 Rendez-vous aux Essarts, espace arts et cultures de Bram. L’exposition sera visible du 20 avril au 02 juin 2024. Ouvert au public du mercredi…

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