Presse
Revues de presse du GRAPh-CMi et du Festival Fictions Documentaires :
Grand Carcassonne Tourisme, 2022.
“DORIAN TETI “FILS DE” EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE.”
La dépêche, 2022.
“Un mois durant – du 4 mai au 4 juin – le GRAPh présente l’univers singulier du photographe Dorian Teti. Une exposition à découvrir au cœur de la Bastide, à la Maison des mémoires. “
Aude.fr, 2022.
“Il s’agit d’une exposition photographique de l’artiste Dorian TETI qui utilise également le médium de la céramique, pour mettre en scène un univers intime et étrange, celui de sa relation avec sa mère et avec sa mémoire familiale. L’installation viendra habiter les deux salles d’exposition de la Maison des Mémoires durant tout le mois de mai 2022. “
L’indépendant, 2022.
“Un mois durant – du 4 mai au 4 juin – le GRAPh présente l’univers singulier du photographe Dorian Teti. Une exposition à découvrir au cœur de la Bastide, à la Maison des mémoires”
L’artvues, 2022.
“Le festival Fictions Documentaires organise la remise d’un prix aux jeunes photographes de la Région Occitanie. Le prix concerne les moins de vingt ans qui sont donc appelés à envoyer leur candidature. Le projet sélectionné sera ensuite accompagné sur les plans artistique et technique par des professionnels de l’image.”
Aude, 2022.
“Le festival Fictions Documentaires à Carcassonne (Aude), qui aura lieu en novembre 2022, organise un prix réservé aux jeunes photographes de la région Occitanie de moins de 20 ans. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 avril 2022.”
Ladépêche, 2022.
“Durant les vacances de février, du 28 février au 3 mars, le GRAPh CMI propose un stage d’arts plastiques et de création destiné aux jeunes âgés de 10 à 15 ans. L’objectif ? Créer sa propre bande dessinée.”
Fisheye, 2022.
“Pour la sixième édition du festival Fictions Documentaires, le collectif GRAPh − en partenariat avec acti city − lance son prix réservé aux photographes de la Région Occitanie, âgé·e·s de 14 à 20 ans. Vous avez jusqu’au 15 avril 2022 pour tenter votre chance!”
SpeedRadio, 2021.
“Pour la première fois, le festival de la photographie sociale « Fictions Documentaires » vient de décerner un prix de la « Création photographique des moins de vingt ans ». Une récompense décernée à Paloma Faugères, une jeune artiste originaire de la région. Son travail est exposé aux côtés des autres photographes invités jusqu’au 12 décembre. “
Artshebdomedias, 2021.
“La 5e édition de Fictions Documentaires montre la diversité de la création de ce domaine photographique à part, alliant fiction et approche documentaire dans le but d’exposer ce qu’est notre société aujourd’hui. La programmation de cette année rassemble de grands noms de la photographie de même que des professionnels émergents autour de cette photographie sociale. “
Libération, 2021.
“Dédié au mélange de l’art et du document, le festival s’intéresse cette année à la mémoire du pays quitté, à des chrétiens dévots suisses, à la sécheresse ou encore à des réfugiés syriens.
Pieds nus sur le carrelage, Arina Essipowitsch ouvre un gros livre carré posé à même le sol. Par un jeu de mains habile, elle en déplie les pages comme un leporello à plusieurs bandes : une image noir et blanc apparaît, puis, au verso, une deuxième image se superpose. “
Franceinfo:culture, 2021.
“Pour la première fois, le festival de la photographie sociale “Fictions Documentaires” vient de décerner un prix de la “Création photographique des moins de vingt ans”. Une récompense décernée à Paloma Faugères, une jeune artiste originaire de la région. Son travail est exposé aux côtés des autres photographes invités jusqu’au 12 décembre. “
Occitanie Tribune, 2021.
“Fiction documentaire – un oxymore en apparences, mais un genre photographique à part entière. Alliant la fiction et l’approche documentaire, il encapsule avec justesse ce qu’est notre société aujourd’hui. Cette pratique contemporaine est à l’image de ce qu’est le GRAPh ; une identité plurielle, qui mélange et allie des actions de programmation artistique aussi bien que des actions qualifiées de sociales.”
La dépêche, 2021.
“Chaque année, depuis sa création en 1987, le Graph propose un festival. La relation entre photographie et paysage, entre photographie et écriture, entre photographie et abstraction… Tous les ans, la thématique change. Cette année, le festival aborde la fiction documentaire.”
L’indépendant, 2021.
“L’équipe du Graph finalise les derniers préparatifs, dont l’accrochage des œuvres, avant le début du festival. Pour sa 5e édition, le Graph met à l’honneur – du 12 novembre au 12 décembre – la fiction documentaire en invitant sept photographes. Via le prisme de l’appareil photo et de leur sensibilité artistique, ils observent et racontent le monde qui nous entoure.”
Aude.fr, 2021.
“GROS PLAN SUR LA PHOTOGRAPHIE SOCIALE AVEC LE FESTIVAL FICTIONS DOCUMENTAIRES. Organisé par le Graph (Groupe de recherche et d’animation photographique), le festival Fictions documentaires ouvre ses portes du 12 novembre au 12 décembre 2021. Au programme de cette cinquième édition, les expositions de 8 artistes dont le travail, qui s’inscrit pleinement dans la photographie sociale, questionne notre société.”
Contemporanéités de l’art, 2021.
” Fiction documentaire – un oxymore en apparences, mais un genre photographique à part entière. Alliant la fiction et l’approche documentaire, il encapsule avec justesse ce qu’est notre société aujourd’hui. Cette pratique contemporaine est à l’image de ce qu’est le GRAPh ; une identité plurielle, qui mélange et allie des actions de programmation artistique aussi bien que des actions qualifiées de sociales. À travers sa programmation, son soutien à la création, ses interventions auprès des publics spécifiques, ses actions d’éducation à l’image, le GRAPh provoque cette rencontre fertile entre le monde de l’art contemporain et le public dans toute sa diversité.”
9 lives magasine, 2021.
“Pour sa cinquième édition, Fictions Documentaires comme les années précédentes, n’aborde pas une thématique particulière, mais balaie les champs des possibles et montre la diversité de la création dans ce domaine. La programmation festival rassemble de grands noms du monde de la photographie, précurseurs de la fiction documentaire (parfois à leur insu), et des photographes émergents, qui aujourd’hui peuvent se revendiquer de cette pratique qui porte enfin un nom.”
Contemporanéités de l’Art,2021.
“Depuis plus de dix ans, un groupe de personnes atteintes de déficiences visuelles a trouvé au sein de l’atelier photographique du GRAPh un refuge artistique. Aujourd’hui, les photographes présentent à la Galerie Hamilton l’exposition issue de leur projet de voyage photographique en Sicile.”
L’Art Vues, 2021.
“Carcassonne : la 5e édition de festival Fictions Documentaires se déroulera du 12 novembre au 12 décembre. Pour sa cinquième édition, Fictions Documentaires, comme les années précédentes, n’aborde pas une thématique particulière, mais balaie les champs des possibles et montre la diversité de la création dans ce domaine.”
Contemporanéités de l’Art, 2021.
Vous pouvez retrouvez ici 3 articles concernant nos expositions, sur leur site.
1| Exposition de Cyril Abad
2 | Exposition ” ON N’EST PAS DES ROBOTS “
3 | Festival Fictions Documentaires
Art Six Mic, 2021.
“Fiction documentaire : Apprivoiser le tigre. Le Festival de la photographie sociale de Carcassonne, balaie les champs des possibles et montre la diversité de la création dans ce domaine. Le festival Fictions Documentaires, alliant la fiction et l’approche documentaire, encapsule avec justesse ce qu’est notre société aujourd’hui.”
RÉPONSES PHOTO, 2021.
“Initialement prévu fin 2020, le festival “Fictions documentaires” initié pour mettre la photographie sociale à l’honneur, a été repensé pour s’égrener jusqu’au mois d’avril dans l’Espace Hamilton, à Carcassonne, en fonction des possibilités de visite.”
Le Journal Toulousain, 2021
“La quatrième édition de Fictions documentaires, le festival de la photographie sociale aurait normalement dû se dérouler à la fin de l’année 2020. En raison du contexte, l’événement porté par Groupe de recherche et d’animation photographique (GRAPh) a donc été repoussé et s’étale désormais durant tout le premier semestre 2021. Jusqu’au mois de juin, les expositions vont en effet se succéder à l’espace Hamilton à Carcassonne.”
PHOTO.FR, 2021.
“Fictions Documentaires, le festival de la photographie sociale à Carcassonne, change de forme. Initialement prévu en novembre dernier et annulé en raison des mesures de confinement liées à la Covid-19, le festival s’ouvre sous formes d’expositions.”
Artistes d’occitanie, 2021.
“Pour la première fois, le Festival Fictions Documentaires organise un prix pour les jeunes photographes de la Région Occitanie.
Les moins de vingt ans sont invités à envoyer à l’équipe du festival quelques images personnelles ainsi que le projet qu’ils souhaitent réaliser, sous forme rédigée.”
Lense, 2021.
“Le festival Fictions Documentaires, organisé par le GRAPh, aura lieu du 12 novembre au 12 décembre à Carcassonne, le seul en France entièrement à ce genre nouveau, mélangeant récit social et art contemporain.”
La dépêche, 2020.
“Carcassonne. Un atelier photo et multimédia pour les ados.
C’est la rentrée aussi pour le Groupe de Recherche et d’Animation Photographique (GRAPh) qui porte haut les couleurs de la photo, depuis plusieurs décennies, à Carcassonne et au-delà. Parmi les nouveautés, un atelier photo et multimédia à destination des adolescents de 12 à 17 ans.”
France 3 occitanie, 2019.
“A Carcassonne, l’art et le social se rencontrent. Un photographe a guidé, pendant plusieurs semaines, un groupe de personnes en situation de précarité. Par la photographie, les participants ont pu exposer leurs rêves et s’échapper, un temps, de leur quotidien.”
Re-prises, 2019.
“Une expérimentation documentaire et féministe. Invité par le GRAPh (Groupe de Recherche et d’Animation Photographique) à participer au festival Fictions documentaires, le collectif Penser l’urbain par l’image décide d’explorer les archives des ateliers photographiques menés par cette association d’éducation populaire depuis plus de 30 ans.”
Fisheye,2018.
“Fictions documentaires, le premier festival consacré à la photographie sociale, a été lancé l’an dernier à Carcassonne. Éric Sinatora, directeur du Groupe de recherche et d’animation photographique (GRAPh) qui en est à l’initiative, nous explique les enjeux de ce nouveau rendez-vous. Une interview à retrouver dans notre dernier numéro.”
Libération, 2016.
“En rang d’oignon, devant un mur de zone industrielle, une troupe de beaux gosses. Malgré les lunettes de soleil, le scooter MBK et le quad Kymco, la brochette fait plus tendre groupe que bande de cacous. Le bébé à crête rousse, tétine dans le bec, adoucit l’image de durs à cuire. Face à cette brochette, derrière l’objectif, une femme qui suit l’atelier photographique « Mémoire gitane », créé il y a vingt-trois ans par Eric Sinatora, directeur du GRAPh, et où est intervenue jusqu’à l’an dernier la photographe Hortense Soichet, originaire de Toulouse.”
